Le député Ngondankoy dénonce la présence des ministres aux procès

Christine Musafira, responsable de l’ONG femmes en résilience souligne que la guerre, l’insécurité et les déplacements massifs ont exacerbé les vulnérabilités des femmes, notamment en termes d’accès à l’éducation, aux soins de santé et à des conditions de vie décentes.
Outre les violences physiques, l’impact psychologique du conflit sur les femmes est particulièrement lourd.
Ces espaces sont essentiels pour les protéger des violences et les aider à surmonter leurs traumatismes », précise-t-elle.
Parallèlement, Femmes en Résilience mène des actions de sensibilisation auprès des communautés pour lutter contre les stéréotypes de genre et promouvoir la protection des droits des femmes.
»L’ONG appelle à une augmentation du financement humanitaire et à une meilleure coordination entre les acteurs locaux et internationaux pour répondre aux besoins des femmes déplacées.

Selon ce communiqué le vice-Premier ministre de l’Intérieur et sécurité, JACQUEMAIN SHABANI, a poursuivi les descentes sur le terrain pour se rendre compte de l’efficacité de l’opération « Ndobo », qui vise à traquer les bandits urbains appelés communément « kuluna ».
« Ce lundi 9 décembre, le Ministre de l’Intérieur s’est rendu au district de la Police nationale congolaise (PNC) de Tshangu, situé dans la commune de N’djili, où ces malfaiteurs lui ont été présentés.
Le patron de la Sécurité a reçu des explications sur les résultats des bouclages qui ont conduit à l’arrestation des bandits urbains, sous la supervision du commandant de la ville de Kinshasa, le général BLAISE KILIMBALIMBA.
Une visite effectuée après l’arrestation de plus de 400 personnes, toujours dans le cadre de l’opération ‘Ndobo’ », Lit-on dans le communiqué du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité.
En outre cette source précise que cette visite s’inscrit dans le cadre des conditions d’incarcération des présumés bandits urbains, en vue de l’organisation dans un délai proche des audiences foraines.

Le directeur de cabinet du chef de l’État, Antony Nkinzo, a annoncé ce mardi 4 mars 2025, en présence de tous les mandataires publics, le lancement des missions de contrôle a priori de l’IGF sur la chaîne de la dépense publique.
Ces missions de contrôle vont également porter sur les opérations de mobilisation des recettes publiques ainsi que sur certaines opérations des entreprises et des établissements.
Les actions de la patrouille financière vont cibler les avantages des mandataires, les acquisitions immobilières, les marchés publics, les paiements des fournisseurs et des prestations, les soins médicaux ainsi que les missions à l’étranger.
David Mukendi K.