Kinshasa: les élèves de Notre-Dame du Congo et Boyakani en immersion à l’IGF pour être sensibilisés à la lutte contre la corruption

Au moins six (6) personnes sont mortes dans des attaques attribuées aux groupes armés CODECO et de l’autodéfense Zaïre.
Venus des groupements Laudjo et Ladedjo, certains éléments de la milice CODECO ont occasionné la destruction des plusieurs produits champêtres, ce même mercredi.
Face à cette montée de l’insécurité en territoire de Djugu, l’armée congolaise rassure et promet le déploiement des militaires dans des régions touchées par cette barbarie pour ainsi mettre la population à l’abri d’éventuelles attaques.
“Nous sommes en œuvre pour aller faire taire les armes entre les deux groupes armés […] Nous sommes en œuvre pour le déploiement”, a rassuré Jules Ngongo, porte-parole de l’armée en Ituri.
Des attaques et des représailles entre les groupes armés CODECO et l’autodéfense Zaïre ne cessent de s’enregistrer en territoire de Djugu.

Dans le cadre du projet d’extension de la ville de Kinshasa, le gouverneur Daniel Bumba et des représentants de l’entreprise TGCC ont procédé à la signature d’un protocole d’accord pour la construction d’un hôpital pluridisciplinaire avec plus de 100 lits, sur le site de la ville situé dans la commune de Maluku.
D’après le gouverneur Daniel Bumba, ce projet s’inscrit dans la ligne droite de la vision du président de la République, Félix Tshisekedi, pour la capitale congolaise.
Pour sa part, le coordonnateur du projet d’extension de la ville de Kinshasa, l’ingénieur Thierry Katembwe Mbala, a indiqué que cet hôpital sortira des terres dans 24 mois.
L’entreprise TGCC, partenaire de ce projet, spécialisée dans le domaine médical, avec plus de 10 mille salariés dans le monde, a réalisé plusieurs projets au Maroc, au Sénégal, en Côte d’Ivoire et au Ghana.
Christian Dimanyayi

Kinshasa, 5 mars 2025 (ACP).
– Le prix d’un filet de pommes de terre de 30kg, en provenance de Goma, province du Nord-Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), est passé de 120.000 à 120.000 FC, soit une hausse de 20% sur les marchés de Kinshasa, la capitale, a constaté mercredi l’ACP.
« Cette invasion que le Rwanda nous a imposée a des conséquences économiques.
Et l’on assiste à une montée du chômage, à une perte de revenu et à l’augmentation des coûts de transactions ainsi qu’à la fuite des capitaux ».
Elle a expliqué qu’il y a pénurie de certains produits qui venaient de l’Est du pays et que présentement, les commerçants vendent des pommes de terre en provenance de l’Angola et du Congo Brazzaville.