D3 France/Dames : Kizinga et Roubaix Wervicq en grosse confiance

Kinshasa, 24 janvier 2025 (ACP).- Les efforts de la police nationale congolaise dans la réduction du taux du banditisme urbain à Mont-Nafula, une commune de l’Ouest de Kinshasa, en République démocratique du Congo, ont été salués vendredi, par la cheffe du quartier Mitendi lors d’un entretien.
«Nous saluons les efforts consentis par la police nationale congolaise pour la réduction du taux du banditisme urbain dans nos quartiers depuis un certain temps et nous sommes unis pour leur prêter main forte, afin de mettre un terme à cette situation», a déclaré Adèle Shimba, cheffe du quartier Mitendi.
« La patrouille est programmée pour sécuriser la population et leurs biens, nous sommes satisfait du travail abattu par la police, nous circulons en toute quiétude ces temps§ci », a-t-elle dit.
La police nationale déterminée à mettre fin à ce phénomènePour Éric Bolukaniongo, commandant supérieur de la police d’intervention mobile, cette réduction remarquable est le résultat du travail abattu chaque nuit, notamment, des patrouilles, avec la collaboration avec la population qui dénonce des malfrats.
Cette baisse du banditisme est constaté depuis la mise en application de l’opération Ndobo instaurée à travers la ville de Kinshasa par le vice-premier ministre et ministre de l’intérieur, Jacquemain Shabani.

“La coalition AFC-M23 agit avec pour objectif de remodeler durablement le paysage politique et militaire congolais, tout en bénéficiant d’un soutien direct et indirect des autorités rwandaises.
Cette stratégie indique la volonté d’occupation et d’exploitation à long terme des territoires conquis”, rapporte la note.
Le document des experts onusiens révèle que, depuis avril 2024, les Forces de défense rwandaises (RDF) et le Service de renseignement rwandais continuent de donner des instructions et un soutien logistique au M23.
Cependant, bien que les deux entités soient distinctes, elles mènent ensemble des campagnes de recrutement de jeunes combattants auprès des populations locales des provinces de l’Ituri, du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
“Les deux groupes organisent des réunions dans les territoires nouvellement conquis pour promouvoir leur coalition, recruter de nouveaux membres et mettre en place des administrations parallèles”, souligne le rapport.

Dans un communiqué rendu public le 28 février, dont copie est parvenue à MediaCongo Press (MCP), les ONGs de la société civile, regroupés au sein de la coalition contre la corruption en RDC, ont exprimé leur désaccord avec la décision rendue par la Cour de cassation dans cette affaire.
Ces organisations de la société dont Odep, Acaj, Licoco, Intègres et le Recic, constatent plusieurs défaillances dans l’examen de cette affaire.
Une telle diligence aurait permis de renforcer l’instruction et de mieux identifier les responsabilités des personnes impliquées », disent-elles dans le communiqué.
Et d’ajouter : « l’absence de poursuite approfondie des investigations a non seulement restreint la portée des recherches, mais a également conduit à l’acquittement de personnes présumées impliquées dans des faits de corruption ».
La coalition des ONGs de lutte contre la corruption a, dans cette même lancée, critiqué la décision du conseil supérieur de la magistrature, interdisant les commentaires sur la décision de la Cour de cassation dans cette affaire.