Le CNPAV constate que l’avenant 5 n’a pas, tout de même pris en compte les revenus générés par le cobalt dans les recettes devant contribuer au financement d’infrastructures.
Pourtant, dans la convention initiale, la RDC a mis à la disposition de la Sicomines des réserves de cobalt de l’ordre de 619.000 tonnes, soit cinq fois la production annuelle totale de cobalt de la RDC tous projets combinés.
Quant au cuivre, son financement destiné aux infrastructures est estimé seulement à 324 millions USD, et est livré s’il est vendu à plus de 8000 USD sur le marché mondial.
Et s’il est vendu inférieur jusqu’à 5 200 USD, le financement aux infrastructures sera décaissé moins.
Et si le cuivre est vendu en dessous de 5 200 USD, le risque est que la RDC ne gagne rien.
Author(s): actualite.cd
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