RDC : Jacquemain Shabani nomme un maire intérimaire de la ville de Lubumbashi

2025-01-292025-01-292025-01-292025-01-29Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/27-31/paul_kagame_et_militaires_25.jpegLa prise de Goma par la rébellion du Mouvement du 23 mars, dit « M23 », soutenue par le Rwanda, s’apparente en fait à la mainmise de Kigali sur cette grande ville de l’Est congolais.
Le conflit en cours a une particularité : l’un de ses protagonistes n’est pas désigné clairement.
Réuni en urgence dimanche, le Conseil de sécurité de l’ONU a réclamé le retrait des « forces extérieures », sans désigner explicitement Kigali.
Petit pays ravagé en 1994 par le génocide des Tutsi, le Rwanda suscite la fascination, en Afrique et ailleurs, pour ses succès économiques, la réussite de sa pacification et l’habileté de son président, Paul Kagame.
Longtemps ambiguë, comme l’essentiel de la communauté internationale, la France a condamné lundi « l’offensive menée par le M23, soutenu par les forces armées rwandaises ».

Les données collectées seront inclues dans un Document Stratégique pour la réduction de la Pauvreté, DSRP.
A Kinshasa, Bukavu, Matadi et dans d’autres villes en RDC des vivants troublent la quiétude des cimetières.
Par endroit, certains cimetières de Kinshasa deviennent des restaurants et des débits de boissons.
De moins en moins des projets d’urgence en faveur des projets de développement durable.
A la faveur de la paix, les agences humanitaires revoient au fur et à mesure leurs stratégies d’interventions.

Au moins 51% de ces violations concernent le droit à la propriété́, 19% des atteintes au droit à la vie et à l’intégrité physique, 18% des violations du droit à la liberté́, 11% des violences basées sur le genre (VBG), etc.
Ces violations ont fait plus de 18 250 victimes parmi lesquelles des retournés (51%), des déplacés (24%) et les populations hôtes (20%).
Le territoire de Djugu est le plus affecté avec 42% des cas de violations enregistrés », explique le communiqué.
000 personnes contraintes de fuir en raison des violences persistantes dans la région de l’Ituri.
Entre le 11 et le 30 décembre 2024, 17 civils, dont des femmes et des enfants ont perdu la vie dans des violences armées et des embuscades causées par des présumés ADF dans plusieurs localités (Landa, Katanga, Mafifi) », souligne le document.