Peut-on vraiment espérer un cessez-le-feu entre l’Ukraine et la Russie?

Dans le cadre de sa visite de travail dans le Kongo Central, le vice-premier ministre de la Défense nationale et anciens combattants s’est rendu à Moanda samedi dernier pour s’enquérir des conditions socioprofessionnelles des Forces armées et des prouesses réalisées par la base de Kitona en ce qui concerne la formation des militaires.
Dans cette ville côtière, qui constitue la 4ᵉ étape de son itinérance, Guy Kabombo Muadiamvita a eu une séance de travail avec les différentes unités de la base de Kitona, en présence des élus nationaux et provinciaux de la province.
Dans les échanges, les officiers militaires de commandement ont plaidé pour l’amélioration des conditions de travail , ainsi que pour le bon fonctionnement de la base.
À cette occasion, ce membre du gouvernement Suminwa a offert un lot de pagnes et une enveloppe aux épouses et dépendants des militaires qui, en retour, ont exprimé leur gratitude.
Il a aussi visité la prison du Front Tshika, une bâtisse de l’époque coloniale en état de délabrement, mais également la 142ᵉ base navale des FARDC.

Les organisations signataires s’alarment des avancées continues du M23 et de l’armée rwandaise, qui constituent une violation grave de la souveraineté nationale et une menace pour la stabilité de la sous-région des Grands Lacs.
Malgré les condamnations répétées de la communauté internationale, la société civile constate l’inefficacité des déclarations diplomatiques et appelle à des actions concrètes pour rétablir la paix.
Au niveau international, ces organisations de la Société civile demandent des sanctions ciblées contre les dirigeants du M23 et les troupes rwandaises, ainsi que la suspension du contrat entre l’Union Européenne et le Rwanda portant sur les matières premières congolaises.
Elles appellent également à une mobilisation accrue des États et organisations humanitaires pour soutenir les civils pris dans le conflit.
Dans un contexte où les violences s’intensifient et la réponse internationale demeure timide, les acteurs de la société civile rappellent que la restauration de la paix à l’Est du Congo est une urgence absolue.