RDC : la prise en charge des survivants des VGB au centre des échanges

CADA (CONGO ACTION POUR LA DIPLOMATIE AGISSANTE) suit avec une grande attention l’évolution de la situation en République Démocratique du Congo en général et en particulier sur le plan sécuritaire.
Ce qui témoigne du mépris de cette coalition aussi bien pour la paix dans l’est de la République Démocratique du Congo que pour les populations de cette partie du pays.
Laquelle résolution tranche avec le passé en mettant en évidence la responsabilité du Rwanda dans le conflit qui sévit en République Démocratique du Congo et qui n’en finit pas depuis trois décennies.
Aussi le Rwanda est-il appelé à procéder au retrait de ses troupes du Congo-Kinshasa dont la souveraineté et l’intégrité territoriale ne sont pas négociables.
Par ailleurs, il en appelle à la mise rapide du Gouvernement d’union nationale promise par le Président de la République en vue non seulement de resserrer les rangs de la nation eu égard à la situation dramatique que traverse le pays à l’est, mais d’apporter aussi un nouveau souffle dans la conduite de la nation.

Les conflits entre les enfants sont au cœur de votre quotidien et c’est normal !
Il est cependant très important de comprendre que vos interventions en tant que parent auront comme effet d’augmenter ou de diminuer la fréquence des conflits.
Il y a plusieurs explications possibles pour une augmentation du nombre de conflits : esprit de compétition, incompréhension des émotions, sentiment d’injustice, recherche d’attention, trouver sa place…
Comment intervenir adéquatement ?
Nous allons le savoir dans ce magazine Bana Okapi de ce jour que je vous recommande de suivre en cliquant ici:/sites/default/files/2025-02/04022025banaokapicommentresoudrelestensionenalamaisonweb.mp3

Les résultats de cette mission, appuyée par la section d’appui à la justice de la MONUSCO à Bunia, révèlent des irrégularités, notamment dans la gestion des recettes et des dossiers judiciaires en matière répressive.
Lors de la séance de restitution organisée jeudi 5 décembre, Emmanuel Shamavu a dénoncé des anomalies dans l’enregistrement des recettes judiciaires.
Il a relevé des cas où les références des notes de perception de la DGRAD (Direction générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales et de participation) et des bordereaux de versement à la banque n’étaient pas renseignées.
Le premier président a également déploré les nombreux renvois injustifiés des affaires par les tribunaux, en particulier dans les dossiers touchant à l’ordre public.
Il a cité des cas où des affaires ont été renvoyées jusqu’à vingt fois, ce qui peut entraîner des conséquences graves, notamment la prescription des infractions.