Kwilu : L’élection du bureau définitif suspendue par le VPM de l’Intérieur

Les combats entre les éléments de la coalition M23/RDF et les FARDC, appuyées par les combattants locaux « Wazalendo », ont repris depuis tôt ce dimanche 5 janvier 2025, sur plusieurs axes du groupement Mupfuni Shanga, dans le territoire de Masisi (Nord-Kivu).
« Les affrontements sont en cours dans les collines surplombant Bweremana.
Samedi, les forces loyalistes ont réussi à reprendre un certain nombre de localités dans les hauts plateaux du même groupement de Mupfuni Shanga.
Face à la puissance de feu des forces loyalistes, les terroristes du M23 ont largué des bombes sur la cité de Bweremana.
Les autorités militaires ne se sont pas encore prononcées sur l’évolution des événements des dernières 72 heures sur les lignes de front dans le territoire de Masisi.

La même source indique que «ces sanctions visent neuf individus et une organisation.
Cependant, l’UE n’a pas imposé de sanctions économiques, comme l’arrêt du versement de l’aide ou des fonds de maintien de la paix au Rwanda.
L’UE a également mis son accord commercial sur les minerais avec le Rwanda sous examen, mais n’a pas donné de calendrier clair pour les changements.
Plusieurs preuves révèlent que des hauts officiers des Forces de défense rwandaises sont déplacés entre le Mozambique et l’est de la République démocratique du Congo.
Pour le Directeur du Réseau d’action des Grands Lacs Africains, Claude Gatebuke, « si vous armez les troupes rwandaises pour une opération au Mozambique, ces armes ne resteront pas uniquement au Mozambique.

Le Conseil supérieur de la magistrature s’est prononcé, à travers un communiqué ce mercredi, aux réactions suscitées par le verdict de la Cour de cassation sur le procès dit des forages.
Il a appelé ceux qu’il qualifie de « juges des réseaux sociaux », à développer un bon sens chaque fois qu’ils tentent de commenter ou de critiquer les décisions de justice.
Le CSM menace de poursuivre en justice tous ceux qui vont persister dans la désinformation au juge de cette décision de justice.
Il souligne que contrairement à ce qui se raconte sur les réseaux sociaux, il n’y a ni déni de justice, ni scandale judiciaire.
Ci-dessous le communiqué