Le président Félix Tshisekedi propose un deal « stratégique » avec Donald Trump sur les minerais du pays

Trois personnes sont mortes et six autres grièvement blessées à la suite des attaques des bandits armés, en quatre jours, dans la ville de Kisangani (Tshopo).
Les malfrats en tenue militaire ont emporté la moto de la victime avant de disparaitre dans la nature.
La police dépêchée sur les lieux a dû tirer en l’air pour les dissuader les manifestant mais elle a été accueillie par des projectiles.
En attendant les conclusions qui en sortiront, il a remis une enveloppe pour la prise en charge des blessés.
Il y a 4 jours, un taximan moto avait été abattu par des hommes armés non autrement identifiés au Bloc Simisimi.

Kinshasa salue la condamnation du Rwanda par la communauté internationale pour la guerre d’agression qu’il mène en République démocratique du Congo.
Pour le gouvernement congolais, les déclarations des pays de la communauté internationale constituent des symboles importants dans le cadre diplomatique.
« En effet, nous voyons une succession de déclarations qui condamnent la recrudescence de violences , qui condamnent aussi le Rwanda pour sa présence et son activisme sur le territoire souverain de la République démocratique du Congo.
Cependant, l’exécutif national insiste sur des sanctions contre le Rwanda qui agresse la RD Congo.
Plusieurs pays condamnent à voix haute l’agression que subit la RDC de la part de son voisin, le Rwanda.

2024-12-262024-12-262024-12-262024-12-26Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/23-29/nord_kivu_fardc_saffrontent_au_rebelles_du_m23_26_dec_2024.jpgLa situation sécuritaire préoccupante dans l’Est de la RDC -République Démocratique du Congo- a figuré parmi les points soulevés lors du tête-à-tête entre Joseph Kabila et Moïse Katumbi, respectivement ancien Président de la République et ex- gouverneur du Grand Katanga.
Inquiets de la recrudescence des crimes, ces derniers ont invité la Communauté internationale à sortir de son inaction, afin d’accompagner le peuple congolais.
Ces deux personnalités disent regretter que “la Communauté internationale se soit, jusque-là, accommodée des dérives du régime en place et l’invitent à sortir de son inaction et à accompagner les efforts du peuple congolais visant à se libérer d’une dictature assise sur des violations intentionnelles de la Constitution, la mascarade électorale de décembre 2023 et l’impunité assurée aux crimes les plus graves commis, notamment à Goma, à Lubumbashi, à Kilwa et, récemment, à la prison centrale de Makala par les Forces de défense et de l’ordre”.
Ils expriment, dès lors, leur solidarité envers les populations victimes des choix politiques désastreux du pouvoir en place, et saluent les efforts en cours aux niveaux régional et international, notamment dans le cadre des initiatives de Nairobi et de Luanda, visant à ramener la paix en RDC.
Dans cette perspective de résolution pacifique de la crise, ils encouragent les facilitateurs à demeurer attentifs aux revendications des parties en présence, et, surtout, des populations congolaises qui aspirent à la paix, à la liberté et à la démocratie, ce dont elles sont largement privées aujourd’hui.