Légère amélioration de la santé du Pape François

La ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, coopération internationale et francophonie, Thérèse Kayikwamba Wagner, a convoqué, ce mercredi 18 décembre 2024, dans son cabinet de travail à Kinshasa, le chargé d’Affaires de l’Ouganda en RDC, Matata Twaha.
Le diplomate ougandais a été invité à éclaircir l’État congolais au sujet de récents propos jugés « déplacés » de Muhoozi Kainerugaba, fils du président ougandais Yoweri Museveni.
Commandant en chef de la Force de défense du peuple ougandais, Muhoozi Kainerugaba, aurait tenu des propos inappropriés à l’endroit du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Il a notamment donné son avis sur les récentes évolutions de la situation sécuritaire et les mécanismes mis en place pour trouver la paix dans l’Est de la RDC.
Dans son message posté sur son compte X, mardi 17 décembre dernier, le chef d’état-major des Forces armées ougandaises (UPDF), a donné un avertissement clair et sans équivoque à l’encontre des mercenaires blancs opérant dans l’Est du pays.

Il a expliqué : « la collaboration avec les étudiants des autres pays, en particulier de la RDC, est une question à placer dans les relations bilatérales entre les deux pays.
Nous allons mettre l’université demanderesse en relation avec notre Université pour la collaboration des étudiants de notre domaine en vue de renforcer cette liaison« .
Et de poursuivre: « Nous sommes l’Agence nationale pour la nouvelle technologie, l’energie et le développement économique durable (Enea).
»Les experts qui font partie de cette agence sont entre autres les bio-technologistes, les biologistes, les agronomes, les étudiants en environnement et les étudiants sur la production agro-alimentaire.
C’est cette agriculture qui peut nous permettre d’avoir les plantes pour les repas spécifiques et appropriés à consommer dans l’espace.

Le gouverneur de Kinshasa, Daniel Bumba a prolongé jusqu’au 28 février le délai de souscription de la déclaration de l’impôt foncier et de l’impôt sur les revenus locatifs.
Selon la cellule de communication de l’Hôtel de ville de Kinshasa, cette décision est due en raison des perturbations observées à cause de « la situation sécuritaire au pays ».
Chaque année, les personnes physiques et morales assujetties sont tenues à déclarer l’import foncier et l’impôt sur les revenus locatifs dans les directions des recettes provinciales.
C’est l’une des activités techniques de l’Etat pour drainer suffisamment des ressources dans le trésor public afin d’assurer le développement socio-économique des provinces.