Un sénateur apporte un soutien financier aux recrues des FARDC à Ilebo

Stupéfait, Kamitatu souligne que Tshisekedi sort à nouveau un lapin de sa manche.
En Belgique, que le chef de l’État congolais aime tout particulièrement, une expression résume en réalité sa situation : « battre le beurre ».
Dans ce cas, battre le beurre ne mène à rien et peut faire perdre ses moyens et décourager la personne.
Pour résumer : « Tshisekedi bat le beurre » !», a écrit Olivier Kamitatu.
Ce gouvernement connaîtra la participation de quelques figures de l’opposition et de la société civile.

La ville de Goma s’est réveillée dans un calme relatif ce matin, après une nuit marquée par des échanges de tirs dans les quartiers nord, notamment à Mejengo, Buhene et Turunga.
Les besoins médicaux et humanitaires augmentent, notamment dans les quartiers encore inaccessibles.
Des dizaines de milliers de nouveaux déplacés ont rejoint les 650 000 déjà présents dans les camps aux abords de Goma, où les combats récents ont vidé certains sites de leurs occupants.
Dans la soirée, le président Félix Tshisekedi a pris la parole, dénonçant une “attaque contre la République” et une “offense à l’histoire et à la dignité du peuple congolais”.
Il a promis une riposte “vigoureuse et coordonnée” et ordonné au nouveau gouverneur du Nord-Kivu d’intensifier les opérations militaires.

Le flou persiste toujours sur la question « qui contrôle effectivement la ville montagneuse ?
Si des unités des FARDC sont visibles dans certains quartiers notamment au centre-ville, les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda seraient positionnés dans la partie ouest de Goma.
Parallèlement des scènes pillages continuent d’être signalés notamment dans le quartier Katindo où quelques habitants curieux sont sortis malgré le danger pour tenter d’évaluer la situation.
Jusqu’à ce mardi dans la matinée, toutes les activités restaient paralysées et l’accès internet demeure coupé.
A la frontière entre la RDC et le Rwanda, la situation est également très tendue, selon certaines sources.