Agression rwandaise : le Canada suspend ses relations commerciales avec le Rwanda et annonce une aide humanitaire de 15 millions $ pour la RDC

Le réchauffement des relations bilatérales et le renforcement de la coopération entre les deux pays sont parmi les points à aborder au cours de cette rencontre », a écrit la Présidence sur son X.
Au mois de mars 2024, le Président de la République avait déjà rencontré le Souverain qatari.
Un premier échange qui avait abouti, trois mois plus tard, à l’implantation à Kinshasa de la compagnie aérienne Qatar Airways, pour matérialiser la coopération économique entre les deux pays, rappelle-t-on.
Cette rencontre avec l’émir du Qatar, le cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani avait été sanctionnée par la signature de nombreux accords et protocoles d’entente entre la RDC et le Qatar, notamment dans le domaine de la coopération économique, commerciale et technique ainsi que dans celui de la coopération aéronautique et maritime », selon la Présidence congolaise.
« Ces accords portent notamment sur la protection des investissements massifs attendus entre le Qatar et la RDC, la modernisation et le développement des infrastructures aéroportuaires, portuaires ainsi que le renforcement des capacités des experts sectoriels congolais », avait précisé la source.

Malgré son immense popularité, il avait longtemps été boudé par les Victoires de la Musique.
Cette récompense en 2025 est donc perçue comme une reconnaissance tardive de son influence sur la scène musicale francophone.
»Une déclaration qui suscite de nombreuses réactions, tant son absence de la scène semblerait marquer la fin d’une ère pour la musique urbaine francophone.
L’attribution de ce prix à Gims s’inscrit dans une évolution plus large des Victoires de la Musique, longtemps critiquées pour leur manque de représentativité des musiques urbaines.
Sa victoire aux Victoires de la Musique 2025 marque donc une forme de reconnaissance institutionnelle pour un artiste qui a su révolutionner la scène musicale francophone.

Kinshasa 6 janvier 2025 (ACP).- L’implantation des extensions d’écoles près des quartiers périphériques de Kinshasa, en République démocratique du Congo, afin de les rapprocher des élèves habitant les banlieues de la capitale, a été recommandée, lundi aux responsables du secteur de l’enseignement lors d’un entretien.
«Je recommande à tous les responsables du secteur de l’Enseignement et à tous les promoteurs d’écoles, de se mettre ensemble pour voir comment dans quelle mesure implanter des extensions d’écoles dans des quartiers périphériques car la mobilité non maitrisée des enfants résidant dans des quartiers très éloignés des établissements scolaires peut avoir un impact négatif sur le rendement des élèves », a déclaré Christiane Kongo, promotrice d’une école à Sélembao.
«Il y a des enfants qui quittent des quartiers très éloignés pour aller étudier dans des complexes scolaires situés à plus de 25 kilomètres de leur résidence simplement parce que les parents s’accrochent à faire inscrire les enfants dans des écoles de grande notoriété situées pour la plupart dans la commune de Gombe alors qu’ils résident dans des communes très éloignées.
Pour cette instructrice, dans une ville comme Kinshasa confrontée à des problèmes d’embouteillages récurrents et dont tous les services importants et les institutions sont concentrés dans une seule commune, il est important de faciliter la tâche aux parents et promouvoir l’éducation des enfants congolais en leur offrant des bonnes écoles pour une meilleure formation quel que soit le lieu de résidence.
«La combinaison de tous ces facteurs endogènes peut avoir un impact négatif sur l’évolution intellectuelle et le résultat des élève», a-t-elle dit.