C’est notamment l’appel lancé par le Réseau panafricain de lutte contre la corruption « Unis ».
Dans son rapport rendu public lundi 24 février, cette structure de lutte pour la bonne gouvernance financière recommande notamment au gouvernement la suppression de l’Agence nationale de la prévention et lutte contre la corruption (APLC), une structure intégrée à la présidence, en raison de ses attributions, qui s’apparentent à d’autres services de lutte contre la corruption.
« Unis » évoque ainsi la possibilité de l’associer aux structures, telles que l’Inspection générale de Finances ou l’Observatoire de surveillance de la corruption et de l’éthique professionnelle.
« L’Agence nationale de la Prévention et Lutte Contre la Corruption est un service spécialisé de la Présidence de la République travaillant sur des questions de corruption, blanchiment des capitaux et autres faits assimilés.
Cependant, elle a brillé par des scandales de corruption et faits assimilés impliquant ses dirigeants », mentionne Unis.
Author(s): actualite.cd
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