Dans un communiqué conjoint, l’ACAJ, l’ODEP, la LICOCO, les intègres et le RECIC, ont critiqué le ministère public de n’avoir pas approfondi ses enquêtes en vue pour sortir d’autres infractions et poursuivre Nicolas Kazadi, ancien ministre des finances.
«Les organisations signataires constatent avec déception que le ministère public n’a pas approfondi les enquêtes afin de détecter toutes les infractions susceptibles de permettre la poursuite de Monsieur Nicolas KAZADI et Monsieur BASTHILY.
Elles déplorent un manque de rigueur du ministère public, compromettant l’indépendance et l’efficacité de l’appareil judiciaire.
Et d’ajouter:«L’État est tenu de mettre en œuvre des mesures efficaces afin de luttercontre la corruption et de garantir l’intégrité des agents publics.
«Cette attitude constitue une violation flagrante de l’article 23 de la Constitution de la République Démocratique du Congo, qui consacre le droit fondamental à la liberté d’expression…», a-t-elle dénoncé.
Author(s): actualite.cd
Source: Access the article
