Jean-Claude Juncker : “L’Ukraine n’est pas prête pour une adhésion” à l’UE

Kinshasa, 10 janvier 2025 (ACP).- Une commission et des sous-commissions de l’Inspection générale des finances (IGF) va s’installer à l’Hôtel de ville à la demande du gouverneur de Kinshasa, en République démocratique du Congo, selon un communiqué gouvernorat publié vendredi.
« A la demande du gouverneur Daniel Bumba et sur instruction de Jules Alingete, inspecteur chef de service à l’IGF, une commission et des sous-commissions de l’IGF vont s’installer pendant un mois à l’Hôtel de ville pour accompagner le gouvernement provincial et les services administratifs et financiers », a-t-on lu.
« Cette rencontre fait suite à des recommandations formulées, lors d’une précédente mission, concernant la traçabilité des recettes, la chaîne des dépenses, l’informatisation de la chaîne des recettes, les dettes et les créances, le patrimoine ainsi que ma maîtrise des effectifs de la ville », a poursuivi la source.
A en croire les renseignements fournis dans ce document, une révision de certains contrats conclus par les gouvernements provinciaux précédents sont à revoir.
« Mais ça ne sera pas une chasse aux sorcières », a précisé dans le communiqué Israël Mutala, directeur de cabinet du gouverneur de Kinshasa.

L’administrateur du territoire de Malemba Nkulu (Haut-Katanga), Joel Kayembe, a affirmé dimanche 15 décembre, qu’au moins 9 personnes dont des civils et des hommes en uniforme, ont été tuées en un mois par des miliciens Maï-Maï dans son entité.
Ces malfrats ont fait plusieurs incursions dans des villages où ils ont tué des civils sans défense, et pillés leurs biens.
En date du 2 novembre 2024, un lieutenant des FARDC et un commandant PNC ont été tués par les Maï-Maï.
Lundi09 décembre, ils sont allés très loin pour abattre un major des FARDC et un lieutenant, et les ont ensuite brulés », a expliqué l’administrateur de Malemba Nkulu.
Il a ajouté par ailleurs que deux autres militaires des FARDC grièvement blessés par balles sont pris en charge à l’hôpital de Museka.

2025-01-242025-01-242025-01-242025-01-24Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/20-26/cyril_ramaphosa_250.jpgEn Afrique du Sud, vingt-cinq familles et survivants de crimes politiques de l’apartheid ont porté plainte contre le président Cyril Ramaphosa et son gouvernement.
La plainte, déposée lundi à la Haute Cour de Pretoria, réclame 167 millions de rands de dédommagements.
Les plaignants demandent également la création d’une commission d’enquête sur les ingérences politiques ayant empêché ces affaires d’être instruites.
Selon les documents de la plainte, des décisions exécutives auraient délibérément stoppé les enquêtes entre 2003 et 2017.
Cette plainte vise également à financer des enquêtes, des actions éducatives et des commémorations.