« Après les condamnations, il faut des sanctions contre Kigali », recommande Judith Suminwa

2025-01-312025-01-312025-01-312025-01-31Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/27-31/carlos_martens_bilongo_et_jean_luc_melenchon.jpgAlors que l’Allemagne a officiellement annoncé le gel de son aide au Rwanda jusqu’à ce que ses troupes quittent le territoire congolais, la France, par contre, maintient son accord de coopération militaire avec Paul Kagame.
La France, quoique membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, a superbement ignoré le rapport des experts onusiens.
Carlos Martens Bilongo, député français LFI, La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon, mûrit l’idée de mettre la France devant ses responsabilités dans la crise sécuritaire et humanitaire dans l’est de la RDC.
La Grande Bretagne et la France appellent leurs ressortissants à quitter Goma, ville de 2 millions d’habitants.
Le grand remplacement des Rwandais dans le Kivu congolais serait alors garanti…sans coup férir.

Le Gouvernement a lancé, mercredi 6 novembre, les travaux de la VIe session du Conseil consultatif national des forêts, à Kinshasa.
Avec l’appui financier de l’Agence française de développement (AFD), ces travaux prouvent l’engagement du Gouvernement d’améliorer la gouvernance forestière du pays.
« Nous sommes obligés de gérer durablement des forêts et d’en donner des stratégies nécessaires tout en utilisant des bois de moins en moins comme énergie.
Cette sixième session connait la participation de plus de 70 personnes dont la majorité sont réunis au sein du Conseil consultatif national des forêts.
Durant deux jours, ils examinent plusieurs documents dont le rapport des assises des Etat généraux des forêts, la feuille de route du zonage forestier et programmation géographique et autres.

Il appelle la population au calme et à faire confiance à son armée ainsi qu’aux résistants Wazalendo.
La situation est maîtrisée en ce moment ici.
C’est pourquoi je suis passé pour demander à la population de retourner et de continuer leurs activités habituelles.
Nous sommes là pour défendre le Congo, le Congo nous appartient ››, martèle l’autorité territoriale.
La situation est confuse à Lubero-centre depuis que les combats ont éclaté à Kitsombiro, à une trentaine de kilomètres.