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Author(s): radiookapi.net
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L’Indonésie a “salué”, mardi 7 janvier, son entrée formelle dans le bloc des Brics annoncée par le Brésil, qui vient de prendre la présidence tournante du bloc des économies émergentes, dont la Chine, l’Inde et la Russie font également partie.
La candidature de l’Indonésie avait été approuvée lors d’un sommet des Brics en 2023, à Johannesburg, en Afrique du Sud.
Créé en 2009, ce bloc est de plus en plus considéré comme un contrepoids à l’Occident.
La coopération entre pays du “Sud global” et la réforme des institutions multilatérales font partie des priorités affichées de la présidence brésilienne des Brics, qui a débuté officiellement le 1er janvier.
Dans la foulée, le président élu des États-Unis, Donald Trump, a menacé les pays du groupe de “tarifs douaniers de 100 %” s’ils créaient “une nouvelle monnaie des Brics” pour remplacer le dollar.
Le vice-ministre de la Justice et contentieux international et cadre du parti Convention pour la République et la démocratie (CRD), Samuel Mbemba a sensibilisé, le samedi 28 décembre, plus de 300 étudiants de différentes institutions universitaires du pays sur la délinquance juvénile et l’agression rwandaise.
Il a fait cette sensibilisation au cours d’une conférence scientifique, organisée au salon rouge du ministère des Affaires étrangères, dans la commune de la Gombe, à Kinshasa.
Le conférencier a également appelé ces jeunes étudiants à la prise de conscience, à la vigilance et à prudence parce que le pays est menacé.
M. Mbemba a en outre encouragé ses interlocuteurs à s’engager dans la réforme constitutionnelle que mène le Chef de l’Etat pour le bien-être de la RDC.
Vous pouvez écouter Samuel Mbemba dans cet extrait :/sites/default/files/2024-12/03.291224-s-fr-vice_ministre_de_la_justice_samuel_mbemba-00.mp3
2024-12-092024-12-092024-12-092024-12-09Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/09-15/jean_claude_katende_242.pngJean-Claude Katende, président national de l’Association africaine de défense des droits de l’homme (Asadho), s’est insurgé, ce lundi 9 décembre 2024, contre la décision du ministre d’État et ministre de la Justice, Maître Constant Mutamba, d’exécuter “de manière aveugle” la peine de mort contre les bandits urbains, communément appelés “Kuluna”.
Cet activiste estime que cette mesure est vouée à l’échec tant que les autorités ne mettront pas en place un programme d’éducation et de réinsertion sociale pour ces jeunes délinquants.
Selon le ministre Mutamba, cette commission travaille pour “l’opération zéro Kuluna” qui vise à traquer sérieusement tous les bandits urbains qui sèment la désolation et la terreur dans la société congolaise.
Ladite commission a déjà lancé des audiences itinérantes contre les présumés Kuluna à travers les districts de Kinshasa.
Ces gangsters qui risquent la peine de mort, seront transférés à la prison d’Angenga.