Un employé de MSF grièvement blessé par balle à Masisi-Centre

Kindu, 24 décembre 2024 (ACP).- Plus de quatre-vingts prestataires de santé de la Zone de Santé rurale de Punia, Chef-lieu du territoire du même nom, province du Maniema (Est de la République démocratique du Congo), ont été sensibilisés sur les Signes cliniques et la prévention contre le Mpox, a appris l’ACP mardi de source sanitaire.
« La Zone de santé rurale de Punia a déjà notifié dix-sept (17) cas présumés de Mpox, raison pour laquelle, aujourd’hui, nous venons de sensibiliser plus de quatre-vingt prestataires de santé de la Zone de Santé rurale de Punia, parmi lesquels, les Infirmiers titulaires, les présidents des Comités de Santé (CODESA) ainsi que les membres de l’équipe cadre de la Zone de santé sur les symptômes cliniques et la prévention contre la maladie d’origine virale ; nous les avons outillés de notions de base », a fait savoir Monsieur Noel Kamile Wa Kansilembo, Superviseur à la division provinciale de la Santé Publique au Maniema.
Et d’ajouter : « au cours de cette sensibilisation, nous avons décri aux prestataires les symptômes qui peuvent leur permettre de diagnostiquer la maladie de Monkeypox pendant l’exercice de leur profession ou dans la Communauté.
Le Mpox est une infection virale accompagnée d’une éruption cutanée qui peut être douloureuse et touche n’importe quelle partie du corps, notamment le visage et la bouche, les paumes des mains et plante des pieds, le frisson, la fièvre, le maux de tête, les douleurs dorsales, articulaires et musculaires et autres ».
C’est dans ce contexte qu’il a invité les prestataires de santé de la Zone de santé rurale de Punia à assurer une surveillance stricte des cas de cette maladie d’origine virale au sein de la communauté, mais aussi la population du territoire de Punia au respect strict des mesures barrières, notamment éviter le contact, la consommation de la gibiers et autres.ACP/UKB

Le sénateur Jean Tshisekedi soutient le projet de révision ou du changement de la constitution.
Comme son parti, l’UDPS, il est pour la mise en place de la commission technique et multidisciplinaire qui serait chargée de soumettre au président de la République ainsi qu’à la nation congolaise des réflexions et recommandations sur cette révision ou changement de la constitution.
Pour lui, cette démarche vise à adapter la loi fondamentale de la RDC aux réalités socio-politico-culturelles actuelles.”
Au sein de l’opposition, cette ambition, perçue comme une manœuvre d’un troisième mandat de Tshisekedi, ne passe pas.
Cette rencontre, bien que tenue dans la discrétion, marque une étape dans les efforts de l’opposition pour formaliser une coalition contre le projet controversé de révision constitutionnelle souhaité par le président Félix Tshisekedi.