Djugu : au moins 700 personnes déplacées à la suite des attaques de la CODECO à Tchomia

Il a, en effet, été constaté la spontanéité des mouvements populaires à Kinshasa, à la suite de l’entrée de l’Armée rwandaise à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu.
Il a appelé au respect de la loi et à la vigilance contre la stratégie d’infiltration de l’ennemi, poussant à des actes intolérables lors de l’expression de colère des populations congolaises.
Le Porte-parole du Gouvernement de la République a dénoncé une infiltration des manifestations, visant à dérouter le sens de la protestation du peuple congolais.
Il a appelé à la vigilance et à ne pas se laisser manipuler par des forces extérieures.
Le ministre Patrick Muyaya a annoncé que le Gouvernement de la RDC se bat sur cinq fronts : militaire, médiatique, diplomatique, spirituel et politique.

Qualifiant d’«inacceptable », l’incursion de l’armée rwandaise sur le sol congolais, il en a profité pour lancer à la population congolaise un appel à la solidarité pour faire face à ladite agression.
« Par cette marche, nous protestons contre l’agression dans notre pays, la RDC, par le Rwanda.
« Aujourd’hui, avec Félix Tshisekedi, le congolais a appris et a grandi dans son âme concernant la résistance.
Le président de la République, Félix Tshisekedi, a inoculé le venin de résistance dans l’âme de tout congolais qui n’acceptera jamais, alors jamais, une domination du Rwanda […].
Ceci est le message fort que nous adressons à tout le monde, au Rwanda et à la communauté internationale », a-t-il souligné.

Revue de presse du mardi 11 févrierLa situation sécuritaire dans la partie orientale de la République démocratique du Congo alimente la presse congolaise parue ce mardi.
Cette session, note le journal, a porté sur la situation sécuritaire et humanitaire préoccupante dans l’Est du pays.
L’audience d’hier lundi a été consacrée à l’identification des prévenus et à la constitution des parties civiles.
Cette décision est mentionnée dans un communiqué signé le lundi 10 février par le cabinet du ministre, rappelle le média en ligne.
Pour Africa News, le pasteur Gully est ainsi sous la sellette pour avoir proféré des menaces de mort contre Kamerhe.