L’implication des jeunes sollicitée pour relever les défis sociétaux en RDC

De nombreux déplacés de Masisi (Nord-Kivu) affluent, depuis quelques jours, vers la cité de Minova, territoire de Kalehe (Sud-Kivu), fuyant la guerre entre les Forces armées de la RDC (FARDC) et les rebelles du M23 dans ce coin du pays.
Selon l’administrateur du territoire assistant de Minova, ces déplacés nécessitent une assistance humanitaire.
« Nous les avons accueillis dans des conditions précaires et nous avons connu l’augmentation de nombre de déplacés.
Ce qui ne les mets pas dans une bonne condition des vies.
En attendant que les réunions se tiennent urgemment avec les clusters sécurité, abris, PAM, HCR, cette autorité politico-Administrative a signalé que d’autres déplacés sont enregistrés sur l’axe Numbi-Kavumo dont certains vivent dans des familles d’accueil.

« Le gouvernement provincial a mené un plaidoyer auprès de la ministre des Affaires foncières pour que le centre d’enfouissement technique des déchets spoliés par des particuliers soit restitué à la ville afin de nous permettre de bien faire le travail d’assainissement.
« Nous tenons à rassurer les habitants de Kinshasa que nous allons désormais améliorer notre façon de collecter les déchets parce que nous avons un site approprié pour ce travail.
La récupération ce centre d’enfouissement technique des déchets, a poursuivi la source, fait partie des préalables pour que la ville de Kinshasa redevienne propre.
« Nous sommes en train de travailler pour que la ville de Kinshasa redevienne un cadre agréable où on peut vivre.
La récupération de ce centre d’enfouissement technique fait partie des préalables pour rendre la ville propre.

Le ministre congolais du Travail et de l’Emploi, Ephraïm Akwakwa Nametu, a annoncé un ajustement du Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG) en République Démocratique du Congo.
La révision du SMIG, effective dès février 2025, fait suite à un dialogue organisé en octobre dernier entre le gouvernement, les syndicats et les organisations patronales.
Malgré cette augmentation, le SMIG congolais reste parmi les plus bas en Afrique.
En comparaison, le Maroc affiche l’un des salaires minimums les plus élevés du continent avec environ 273 euros par mois.
L’application stricte de cette mesure repose sur la capacité des inspections du travail à contrôler et sanctionner les contrevenants.