La Chine, qui le fournissait aux États-Unis, a interdit l’exportation vers le pays de l’Oncle Sam qui en a besoin pour son complexe militaro-industriel.
La poursuite des projets de modernisation des infrastructures à travers le pays ne manqueront d’être influencée par l’attitude chinoise.
Un paramètre de taille à ne pas ignorer.
Le corridor de Lobito va arracher à l’Afrique du Sud, un partenaire crédible, des dividendes tirés du transport des minerais congolais, passant sur son territoire pour atteindre l’Atlantique.
Des enjeux autour de cet espace nécessitent une bonne réflexion murie pour ne pas tomber dans un autre traquenard.
Auteur(s): mediacongo.net
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