Lubumbashi en pleine effervescence à l’approche de la 9ᵉ édition d’Expo Béton RDC : Une vitrine d’excellence pour façonner la ville de demain

Ces actes sont survenus lors des manifestations de solidarité envers les populations de l’Est de la RDC, touchées par l’agression rwandaise.
Le ministre Kibassa a tenu à démentir les rumeurs attribuant à Africell RDC SA une appartenance rwandaise.
“Par ailleurs, le ministre des Postes, Télécommunications et Numérique tient à informer l’opinion que, contrairement à la rumeur répandue, la société Africell RDC SA n’est nullement une société rwandaise et que du reste, aucun actionnaire n’est d’origine du pays agresseur.
Augustin Kibassa a appelé à la solidarité nationale pour garantir l’emploi des citoyens congolais et la sécurité des infrastructures de télécommunications, gage de l’émergence du numérique en RDC.
Des images diffusées sur les réseaux sociaux montrent des individus prenant d’assaut le siège d’Africell RDC SA, saccageant les locaux et emportant des biens.

Bandundu, 24 janvier 2025 (ACP).- L’inspection provinciale de la santé de la province du Kwilu, située dans le sud-ouest de la République démocratique du Congo, a lancé vendredi l’opération de contrôle des officines pharmaceutiques dans la ville de Bandundu, chef-lieu de cette province, a appris l’ACP de source sanitaire.
« Ce contrôle permet de mettre hors d’état de nuire les produits falsifiés et périmés, devenus de ce fait impropres à l’utilisation, afin de mettre à la disposition des malades des médicaments de bonne qualité », a déclaré à l’ACP le Dr Jean-Claude Masheka , médecin inspecteur provincial de la santé du Kwilu.
« Cette opération permet aussi aux techniciens de la santé de contrôler les types de maisons qui servent de pharmacie et qui répondent aux critères standards, notamment la qualité des personnes qui travaillent ainsi que les différents documents, comme le permis d’exploitation », a-t-il précisé.
Il a fait savoir qu’il est nécessaire que les personnes commises à la vente des produits pharmaceutiques soient des pharmaciens de formation.
Il a sollicité l’État congolais pour accompagner l’Inspection provinciale de la santé dans l’accompagnement de sa mission au profit de bien-être social.

Ces jeunes estiment que certaines dispositions de la constitution méritent d’être révisées, mais ils considèrent que l’opportunité ne s’y prête pas actuellement.
« Il vaut mieux se concentrer à mettre fin à la guerre et à rassembler des énergies pour le développement du pays », ont-ils affirmé dans un communiqué à l’issue de leurs échanges.
Selon eux, le changement pourrait entraîner « la concentration du pouvoir entre les mains d’une seule personne, le président de la République, et toutes les institutions lui seront subordonnées ».
Est formellement interdite toute révision constitutionnelle ayant pour objet ou pour effet de réduire les droits et libertés de la personne ou de réduire les prérogatives des provinces et des entités territoriales décentralisées ».
Cette matinée d’échanges fait suite à un atelier organisé en mai 2024 par le CENADEP.