Le HCR redoute un nouvel afflux de déplacés à cause de la poursuite des combats au Sud-Kivu

Alors que certains entrepreneurs sans grande expérience et recherchés tentent de troubler la quiétude de la population congolaise en général et celle des entreprises partenaires en particulier, un nom sort du lot.
Il s’agit de Don Israel Mbuyi, patron de l’entreprise GLORHID MULTISERVICES qu’il a créée depuis février 2017 et qui est spécialisée dans la fourniture des services de qualité dont la soudure plastique et la livraison des biens auprès de grandes sociétés minières dans la ville de Kolwezi comme KAMOA du Groupe international IVANOE MINE.
Ce manager millionnaire aujourd’hui vient de créer une blanchisserie qui fait également la fierté de la population du Lualaba : The Triplet Blanchisserie pour le nettoyage à sec des habits de la population.
Licencié en gestion des ressources humaines de l’Université du CEPROMAD où il est sorti avec la grande distinction, Don Israel MBUYI est aujourd’hui un enseignant qui dispense le cours d’entrepreneuriat .
Sa vision du développement de l’entrepreneuriat est très remarquable qu’elle peut influencer sur l’avenir de ce secteur à travers tout le pays.

Dans la ville de Bukavu, conquise par les rebelles, la vie n’a toujours pas repris son cours normal.
Depuis vendredi dernier, toutes les activités restent paralysées à cause des pillages qui ont suivi le retrait des Forces armées congolaises de la ville pendant que les rebelles stationnaient à Kavumu.
Toutes les activités sont à l’arrêt.
La ville est sale, des déchets et détritus des biens pillés sont visibles à travers les rues.
Dans un communiqué, dimanche dernier, le gouvernement à accusé le Rwanda de refus de respecter les conclusions du récent sommet conjoint EAC-SADC.

Ce projet, porté par le collectif Moyindo Tag Nation, vise à rendre hommage à la population de cette partie de la RDC meurtrie depuis maintenant trois décennies, et apporter leur soutien aux Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC).
« Cette fresque n’est pas seulement une œuvre d’art ; elle est un cri du cœur, une manière de rappeler à la communauté internationale la souffrance de notre peuple ».
Les FARDC, appuyées par les Wazalendo sont engagées dans une lutte constante pour rétablir la paix et la sécurité dans cette partie riche en minerais, mais les défis restent immenses.
Une touche artistique pour redonner espoirLes artistes graffeurs de Moyindo Tag Nation ont exprimé leur désir de contribuer à cette lutte à travers leur art.
La fresque « Toz’art Elongo na FARDC » s’inscrit ainsi dans une démarche de réaffirmation de l’identité nationale et de solidarité envers les victimes des conflits.