Le député Jean Mbaya préconise l’option militaire pour mettre fin à l’agression rwandaise

Mbanza-Ngungu, 14 janvier 2025 (ACP).- La province éducationnelle du Kongo central 2 du ministère de l’éducation et nouvelle citoyenneté, a lancé lundi un atelier d’élaboration du plan d’action opérationnel 2024-2025, a appris mardi l’ACP de source administrative.
Les participants à l’atelier d’élaboration du plan d’action opérationnel 2024-2025<>, a déclaré le directeur de la province éducationnelle du Kongo Central 2, du ministère de l’éducation et nouvelle citoyenneté, saluant ainsi les efforts de la ministre de tutelle, Mme Raissa Malu, pour le redressement du secteur de l’éducation.
<< A ce titre, nous sommes chargés d’assurer à ces enfants une meilleure éducation, celle dite intégrale, inclusive et de qualité. Et pour y parvenir, il y a des préalables à remplir>>, a-t-il poursuivi.
Ces assises attendent également mobiliser l’environnement politique, social, économique et culturel autour des résultats obtenus, capitaliser l’expertise institutionnelle en terme de planification, suivie ainsi qu’évaluer la province éducationnelle de l’ éducation nationale et nouvelle citoyenneté du Kongo central 2.

Le président américain Donald Trump a rejeté mardi les objections de l’Ukraine à son exclusion des pourparlers entre les États-Unis et la Russie en Arabie saoudite visant à mettre fin à la guerre dans l’est de l’Ukraine.
Il a également semblé suggérer que l’Ukraine était responsable d’une guerre qui n’a commencé qu’après l’invasion de ce pays par la Russie, à l’est et en Crimée en 2014, et avec l’invasion à grande échelle en 2022.
D’ailleurs, lors des pourparlers entre les États-Unis et la Russie en Arabie saoudite, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a justifié l’invasion massive de la Russie en rejetant la responsabilité de la guerre sur l’Ukraine et l’Occident.
La Russie est la partie responsable de la poursuite de cette guerre.
« Pour mettre fin à un conflit, toutes les parties doivent faire des concessions », a déclaré Rubio à la presse à Riyad.

Les formations se déroulent dans différents districts de la capitale, et sont dispensées par des experts en pisciculture.
Le lancement officiel de la formation dans le district de la Tshangu a eu lieu ce mardi 10 décembre.
Pendant 7 jours, les participantes apprendront les techniques de base de l’élevage de poissons, de la construction de bassins à la gestion sanitaire des poissons.
“Cela nous donne une chance de subvenir à nos besoins et à ceux de nos familles, tout en contribuant à la sécurité alimentaire de notre communauté”, témoigne l’une des bénéficiaires, devenue formatrice.
Au-delà de l’autonomisation des femmes, ce projet s’inscrit dans un objectif plus large de renforcement de la sécurité alimentaire en RDC.