Kasaï-Central : une femme meurt calcinée dans un incendie à Kalambambuji

2025-01-302025-01-302025-01-302025-01-30Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/27-31/mufalme_moise_samuel_30_janvier_2025.jpgÀ Bunia, capitale provinciale de l’Ituri, l’opposition et la majorité sont invitées à faire un bloc commun pour barrer la route aux ennemis de la paix.
Donc nous devons nous réunir autour d’une même idée pour mettre l’ennemi hors d’état de nuire » , a-t-il précisé à la presse.
La présence des militaires UPDF en Ituri n’est que le moyen d’étudier le terrain pour faire tomber notre province.
Signalons qu’à ce stade actuel, la République Démocratique du Congo est confrontée à l’armée rwandaise via les rebelles du M23.
En Ituri, des appels à la vigilance sont lancés par diverses personnes afin que cette jeune province ne retombe pas entre les mains des ennemis de la paix.

Des enseignants des écoles situées dans les chefferies des Walese-Vonkutu, Banya-Tchabi, Bahema – Mitego et Bahema-Boga en territoire d’Irumu (Ituri) jadis secouées par l’activisme des rebelles d’Allied democratic forces (ADF) sont appelés à regagner leurs écoles respectives.
Cet appel, qui se justifie par l’accalmie observée ces jours-ci dans ces agglomérations, émane de l’administrateur militaire dudit territoire, le colonel N’siro Simba Bunga Jean, après son itinérance dans ces entités, il y a près d’une semaine.
“Je remercie les forces mutualisées (FARDC-UPDF) engagées dans cette partie pour rétablir la paix dans ces entités du territoire d’Irumu.
J’ai visité quelques écoles, néanmoins, qui nécessitent encore bien-sûr de l’assistance, l’essentiel actuellement est le retour des enseignants qui sont actuellement dans des milieux de refuge”, a fait savoir l’exécutif de ce territoire, dans une interview accordée à sa cellule communication, ce vendredi 13 décembre 2024.
L’administration militaire a rassuré de sa détermination pour permettre le retour des populations déplacées dans leurs villages d’origine.

-Le comité de respectés de massacre de Makobola, territoire de Fizi, province du Sud-Kivu (Nord-est de la République démocratique du Congo), exige que justice leur soit rendue et que les auteurs de ce carnage répondent de leurs actes, a appris mardi l’ACP lors d’un entretien.
«Le CRVM exige, afin, que justice soit faite et que les auteurs de ce massacre répondent de leurs actes», a déclaré le coordonnateur du Comité de rescapés de massacre de Makobola (CRVM) , Patrice Lwebula Eshima, à l’issue de la cérémonie commémorative organisée sur le lieu de ce carnage à Makobola.
Concernant le contexte de cette cérémonie, il a : « nous, le comité de rescapés de massacre de Makobola, avons commémoré le massacre du 30 décembre 1998, à Makobola, secteur de Tanganyika, territoire de Fizi, province du Sud-Kivu, où plus de 702 personnes innocentes ont été sauvagement massacrées ».
Cette cérémonie a connu la présence de plusieurs délégations des autorités locales, provinciales et nationales ; aussi, plus de 2 000 personnes y ont pris part.
Cinq(5) moments forts ont caractérisé cette cérémonie à savoir : l’hymne national, la prière, les différents discours, témoignages et le dépôt de gerbes de fleurs sur les fosses communes.