Dans les sites miniers de Lwisha, de nombreuses femmes exploitent le cuivre dans des conditions artisanales défavorables, et surtout pour des revenus les plus bas du marché.
« Je dois casser la terre sur le bassin, et la transporter jusqu’ici – (Ndlr : Petit ruissellement d’eau ) – pour laver afin de trier le cuivre.
Ni bottes, ni gants, ni combinaison, le calvaire du travail des femmes dans ces sites miniers – pour la plupart anciennes concessions de la Générale des carrières des mines (Gécamines), est accentuée par l’absence totale d’équipements de protection adéquats, exposant ces femmes à des risques sanitaires et sécuritaires.
C’est vrai que nous souffrons, mais nous devons travailler pour subvenir aux besoins de nos familles, étant donné que nous manquons de tout», a déclaré Marie-Josée, enceinte de quelques mois.
Il a reconnu que par exemple que la poussière très toxique, représente un véritable danger.
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