Deux mille cinq cents nouveaux candidats magistrats accusent le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) de bloquer leur nomination par ordonnance présidentielle depuis 2024.
Dans le même communiqué, cette ONG recommande au président de la République de considérer la nomination de 5000 magistrats comme promesse de sa campagne électorale.
Pour cette organisation, le chef de l’Etat doit réaliser sa promesse en procédant à la nomination de 2500 nouveaux magistrats restants et prévu pour 2024.
Pour sa part, le bureau du CSM affirme l’avoir déjà fait et qu’il ne lui appartient pas de nommer.
Le CSM indique qu’il ne dispose pas d’un budget pour la nomination de ces candidats magistrats.
Author(s): radiookapi.net
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