Guerre d’agression : « Le retour au processus de Luanda paraît plus clair que le dialogue initié par la CENCO car il s’agit d’une crise sécuritaire » (SG AVC)

Conduit par le président zimbabwéen Emmerson Dambudzo Mnangagwa, le sommet a reconnu que la mission déployée au Nord-Kivu sous l’égide de la SADC, la SAMIDRC, n’a pas encore atteint ses objectifs.
Ces dernières semaines, les combats entre les Forces Armées de la RDC (FARDC) et les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, se sont intensifiés, ciblant notamment les bases de la SAMIDRC et de l’armée congolaise.
L’Accord portant statut de la Force de la SADC a été signé le 17 novembre 2024, réaffirmant l’engagement de la RDC à faciliter le travail de cette mission régionale.
Le déploiement de la SAMIDRC est intervenu après le retrait de la force régionale de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC), que Kinshasa jugeait inefficace.
En sollicitant l’appui de la SADC, les autorités congolaises espèrent une approche plus robuste et adaptée aux défis sécuritaires persistants dans l’est du pays.

Netanyahou cherche à redéfinir les termes de l’accord pour éviter de franchir certaines “lignes rouges”, notamment concernant l’axe Philadelphie.
Les conditions israéliennes incluent la démilitarisation de Gaza, l’exil des dirigeants du Hamas, et leur non-participation à la reconstruction de Gaza.
D’autres sujets seront abordés, notamment les mandats d’arrêt contre Netanyahou à La Haye, le cessez-le-feu au Liban, la nouvelle administration syrienne, et le renouvellement du mémorandum de coopération sécuritaire israélo-américain qui expire en 2028.
Le séjour de Netanyahou à Washington a été prolongé jusqu’à samedi soir, son bureau citant “de nombreuses demandes de rencontres de la part de responsables officiels américains”.
Son épouse Sarah, qui le rejoint après 70 jours aux États-Unis, participera à un dîner avec les Trump.

L’élu de Kindu a fait savoir dans un tweet relayé par le journaliste Stanys Bujakera, que les dirigeants congolais ont choisi le sous-développement et veulent justifier leur malheur par la mauvaise foi de changer la Constitution.
“La RDC, notre pays, se trouve malheureusement rangée dans cette dernière catégorie des pays qui ont choisi le sous-développement, et qui cherchent à justifier leur malheur par la mauvaise foi de vouloir changer la Constitution.
La situation dans laquelle nous sommes n’est nullement liée à la Constitution.
Cette campagne vise à sensibiliser la population sur la compréhension de la Constitution, pour qu’elle puisse mieux la défendre et la protéger.
Elle est organisée dans le cadre de la quatrième édition de l’Université congolaise de l’engagement citoyen, un espace de promotion de l’engagement citoyen pour la démocratie, la paix et la bonne gouvernance.