Après sa libération : Jean-Jacques Wondo est arrivé hier mercredi à Bruxelles

Selon lui, l’objectif est de s’enquérir de la situation de paix et sécurité dans cette partie du pays et d’en faire rapport au Parlement.
« Le gouverneur nous a donné un document qui nous permet déjà de comprendre très rapidement l’essentiel de ce qui se passe ici comme drame.
Donc la situation humanitaire, naturellement, la situation économique avant les conflits et après le conflit.
Nous avons compris que vos ressources naturelles qui sont très importantes, sont aussi à l’origine de vos malheurs », a déclaré Timoléon Baikouam.
En plus des autorités provinciales, la délégation des parlementaires panafricains prévoit des consultations avec plusieurs autres couches des forces vives de la province.

2024-11-122024-11-122024-11-122024-11-12Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/11-17/constant_mutamba_etats_generaux_de_la_justice_241.jpegLes syndicats des magistrats de la République démocratique du Congo qui prennent également part aux Etats généraux de la justice, ne croient plus à l’issue favorable de ces assises.
Dans un communiqué conjoint publié ce lundi 11 novembre, ces syndicats à l’occurrence le Syndicat autonome des magistrats du Congo (Synamac), la Justice indépendante (Jusi), le Syndicat chrétien des magistrats du Congo (Synchremac) et le Syndicat des magistrats du Congo (Symco) soulèvent plusieurs irrégularités qui handicapent le déroulement normal de ces travaux.
Concernant les irrégularités observées, les syndicats des magistrats de la RDC notent que :1.
La très faible prise en charge des participants, en particulier les magistrats venus des provinces ;4.
La sélection intéressée et orientée des intervenants et des thèmes développés en panels ;5.

2024-12-132024-12-132024-12-132024-12-13Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/09-15/Honore_Mvula_24.jpegLa réforme constitutionnelle en République démocratique du Congo est aujourd’hui au centre des débats nationaux.
Une Constitution en décalage avec les réalités actuellesPour Honoré Mvula, la Constitution, adoptée il y a 18 ans, n’est pas un texte immuable.
« Il ne s’agit pas de remettre en question les fondements de notre démocratie, mais de les consolider », a-t-il précisé.
Une réforme conduite dans la transparenceHonoré Mvula soutient l’initiative du Président Félix Tshisekedi, qui appelle à une révision ou à un changement de la Constitution.
Selon lui, il s’agit d’une « opportunité de moderniser notre cadre légal pour qu’il réponde mieux aux aspirations de notre peuple et aux défis de notre temps ».