Agression rwandaise : des femmes en atelier pour soutenir l’armée de la RDC

Annoncé depuis le 09 décembre dernier à travers le pays, le mouvement de grève générale au niveau de l’enseignement supérieur et universitaire, est en train de gagner du terrain dans la région du Katanga, Sud-Est de la République Démocratique du Congo.
Après l’Institut supérieur pédagogique (ISP) Lubumbashi qui a déclenché jeudi son mouvement de grève avec la délégation syndicale, les professeurs de l’Université en ont fait cas ce vendredi dans une déclaration faîte devant l’immeuble administratif de l’Université de Lubumbashi.
Ces professeurs de l’Université de Lubumbashi, en colère, désavouent le secrétaire général intérimaire de l’association du corps académique et scientifique de l’UNILU (ACASUL) par rapport à cette crise de revendications des enseignants de cet alma mater.
“Nous invitons le RAPUCO et tous les syndicats homologues à ne plus considérer l’actuel Secrétaire général intérimaire de l’association du corps académique et scientifique de l’Université de Lubumbashi.
Les professeurs, se joignant à cette démarche de grève, réclament le respect par le gouvernement des accords de Bibwa 1 et 2 qui se résument en l’amélioration de leurs conditions de vie.

Cette initiative vise à traquer, juger et punir sévèrement les inciviques responsables de la désolation dans les villes de la RDC.
À l’issue d’un procès public auquel il a assisté ce jeudi 5 décembre à Kinshasa, Constant Mutamba, figure de proue de cette opération, a déclaré à la presse que les criminels condamnés à mort seront exécutés, afin de servir d’exemple.
« L’opération Zéro Kuluna consiste à traquer ceux qui sèment la mort et la désolation dans nos villes, les faire juger et, comme je l’ai annoncé hier, les condamner à mort.
Et ceux qui seront condamnés à mort seront exécutés.
Dans la capitale Kinshasa, considérée comme l’épicentre du banditisme urbain, certains quartiers restent dangereux, de jour comme de nuit.

La Société nationale d’électricité (SNEL SA) et les élus du district de la Tshangu à Kinshasa ont tracé la voie pour un accès durable à l’électricité face aux défis énergétiques dans la capitale congolaise.
Fabrice Lusinde, directeur général de la SNEL, a pour sa part dévoilé un plan national ambitieux basé sur la digitalisation, l’expansion des infrastructures et la réduction des surcharges.
Ces compteurs visent à responsabiliser les consommateurs et à prévenir les pannes liées aux surcharges.
Cependant, la surcharge des cabines, les actes de vandalisme et les constructions illicites sous les lignes haute tension sont les principaux défis qui compliquent les opérations.
Plaider auprès du Ministre du Portefeuille pour la création de budgets spécifiques, le remboursement des dettes de l’Hôtel de Ville envers la SNEL.