Le prix d’un gramme d’or en hausse de 1,01 % à l’international

Malgré cet ordre, Mgr Muteba s’est rendu à la paroisse Saint-Sébastien pour célébrer la messe du Christ Roi de l’univers, accueillant une foule de fidèles.
En tant que vicaire du Christ, je ne reçois pas d’ordres d’un maréchal ou d’un colonel”, a déclaré Mgr Muteba dans un entretien accordé à la chaîne KTO.
L’archevêque a également affirmé que l’interdiction visait à dissuader l’Église de revendiquer une concession foncière occupée par des militaires.
L’archidiocèse de Lubumbashi a qualifié cette interdiction de “confusion lamentable” et rappelé que la liberté religieuse est garantie par la Constitution congolaise.
Cette controverse intervient dans un contexte d’insécurité accrue dans le Haut-Katanga.

Selon Nkoso Kevani, la population de Kwamouth , ceux qui parlent au nom de Kwamouth à Kinshasa notamment chefs-coutumiers, ne sont pas reconnus comme de vrais chefs coutumiers de cette entité :« J’ai été moi-même à Kwamouth le jeudi dernier, j’étais avec la population, j’ai passé nuit là-bas, où j’ai parlé avec la population, j’ai aussi tenu une réunion du comité local de sécurité.
« Il faut que cette réunion se tienne dans la cité de Kwamouth.
Il y a l’armée qui est là, donc on peut tenir des réunions sécuritaires là-bas.
Parce que la population n’est pas d’accord avec ce qui se passe à Kinshasa par leurs soi-disant représentants chefs coutumiers.
Donc j’aimerais quand même que ces réunions se tiennent à Kwamouth pour que la population elle-même puisse dire aux autorités qui est chef coutumier, qui ne l’est pas », a-t-il conclu.

La Route nationale numéro 1 (RN1) se trouve dans un état de délabrement très avancé dans le tronçon compris entre les villages Mukenge-Biduaya et Kamuesha dans le territoire de Tshikapa.
À cet endroit, une grande érosion menace de couper la route en deux, alerte la population locale.
Cette érosion a coupé la route”, alerte un habitant du village interrogé par 7SUR7.CD.
Toutes les sources ont été abîmées par les eaux de pluie provenant de l’érosion qui a coupé la route.
Nous effectuons de longues distances pour avoir une eau potable”, dit une habitante du village.