RDC : le remaniement du gouvernement à 30 membres sollicité pour faire face à l’agression rwandaise

La cérémonie s’est déroulée dans une ambiance conviviale en présence de hauts magistrats membres du Parquet général près la Cour constitutionnelle.
Il a ensuite été affecté au Parquet de Grande d’Instance de Kinshasa Kalamu, puis au Parquet secondaire de Nioki comme 1er substitut.
Le nouveau PG de la Cour constitutionnelle a été désigné substitut du procureur général près la Cour d’appel de Mbandaka en 2006.
Il va ensuite exercer les mêmes fonctions tour à tour au Parquet général de Goma ainsi qu’au Parquet général de Lubumbashi.
En 2013, Il sera nommé avocat général près la Cour d’appel de Kinshasa/Matete, puis avocat général près la Cour d’appel de kinshasa/Gombe, avant d’être promu en 2018 au grade de procureur général près la Cour d’appel d’Ituri.

Kinshasa, 08 décembre 2024 (ACP).-Le renforcement d’accès au financement des projets d’entrepreneuriat des jeunes en République démocratique du Congo a été recommandé à l’Etat congolais par un entrepreneur au cours d’un entretien dimanche avec l’ACP.
Ce secteur est encore jeune, et la persévérance est essentielle pour surmonter les nombreux défis qui se présentent, notamment le manque du financement et les obstacles administratifs, a-t- il dit.
Il ne faut pas attendre que les conditions soient favorables pour se lancer dans l’entrepreneuriat.
Il est essentiel de se concentrer pour se lancer dans les activités personnelles et collectives qui contribuent au développement.
Ainsi, pour les jeunes qui attendent les conditions idéales pour se lancer dans l’entrepreneuriat, je les exhorte au courage et à la persévérance, en commençant avec le peu qu’ils ont, le sommet s’atteint au fil du temps, a conclu l’entrepreneur Kankolongo.

Kinshasa, 9 janvier 2025 (ACP).- La pression sociale que subissent les femmes à partir d’un certain âge, par rapport au mariage et à la maternité, a été dénoncée comme une autre forme des violences basées sur le genre (VBG) en République démocratique du Congo, au cours d’un entretien jeudi à Kinshasa.
Entre 22 et 30 ans pour une jeune fille la pression sociale de tous bords est juste insupportable », a-t-elle ajouté.
Mme Palata a insisté sur le fait que l’état civil ne devrait pas restreindre les droits des femmes ni les discriminer tant sur le plan, professionnel que, social ou politique.
« Les femmes ont de nombreux accomplissements à réaliser en dehors du mariage et de la maternité », a-t-elle précisé.
Cet appel à la réflexion vise à sensibiliser la société sur l’importance de reconnaitre et de respecter les choix des vies des femmes, tout en encourageant un dialogue ouvert sur leurs droits et aspirations.