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Les amours, amourette, copinage, relation amoureuse entre élèves, quels risques pour les études ?
Nous avons l’école, l’adolescence, la classe et la scolarité en général.
En effet, c’est à partir de la conjugaison de toutes ces étapes que les sentiments d’amour naissent et se renforcent dans le cœur des jeunes.
Mais quels impacts les amours scolaires peuvent-ils avoir sur le rendement scolaire des jeunes ?
Que pensent les autorités scolaires, élèves et le spécialiste, de l’amour scolaire ?

Kinshasa, 14 janvier 2025 (ACP).- Des subventions du gouvernement ont été sollicitées par la direction des brigades agricoles pour relancer ses activités agricoles, à travers les centres de production de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, a appris mardi l’ACP au cours d’un entretien.
« Le moment est venu pour que le gouvernement puisse affecter des fonds permettant aux brigades agricoles de relancer leurs activités et poursuivre les missions qui lui avaient été assignées, » a déclaré M. Bokia Koli Léonard, directeur chef de service de la direction des brigades agricoles.
« Hormis le centre agricole de Dumi, situé à 120 km à l’ouest de la capitale, qui est encore opérationnel avec quelques agents, mais dont la production est insignifiante, les autres centres sont en cessation d’activités », a-t-il indiqué.
Faisant un état des lieux des brigades agricoles à travers la ville de Kinshasa, le directeur Bokia Koli, qui supervise les activités de cette branche attachée au ministère de la Jeunesse, a fait savoir qu’après la destruction méchante de la brigade agricole de Kalamu située sur l’avenue Sendwe, en face du Secrétariat général du ministère de la Jeunesse (Centre de la capitale) et la spoliation par des tiers du centre de production de Nkondo (Nord-ouest de la capitale),la ville de Kinshasa ne compte plus que six centres de production sur les huit qui étaient opérationnels ;ceux-ci ne sont plus viables et se trouvent dans un état de délabrement très avancé ; les activités sont arrêtées depuis quelques années.
« La mécanisation de l’agriculture pour une production à grande échelle, la rétrocession des concessions spoliées, la réhabilitation et la construction de nouveaux centres d’hébergement, les intrants, la motivation du personnel assurant l’encadrement, la restauration, le stockage de produits agricoles de pêche et d’élevage, le charroi automobile pour évacuer les produits vers les centres de consommation, la prise en charge des malades …tout cela nécessite des subventions du gouvernement », a-t-il expliqué, avant d’évoquer le manque des partenaires extérieurs.

Plus de 90 patients ont été pris en charge depuis le 1 janvier jusqu’aujourd’hui à Bukavu “, a dit Ehouman Emmanuel Koni.
A Goma et à Béni, les hôpitaux sont également submergés.”
Nous faisons face à un afflux massif des blessés dans les 3 projets supportés par le CICR en termes de prise en charge des blessés par armes.
La situation est complexe, les blessés ne font que affluer sur les hôpitaux, la pression se met sur les ressources humaines, sur les installations, sur la stratégie mise en place”, a-t-il précisé.
Fin décembre 2024, le CICR Sud-Kivu a réhabilité deux nouveaux blocs pour accueillir les blessés de guerre et par balles.