RDC: le gouvernement décide de réduire le train de vie des institutions

Les humanitaire éprouvent de plus en plus des difficultés pour accéder aux populations déplacées vulnérables, victimes de l’insécurité dans la région de Mabalako-Cantine, (Nord-Kivu) afin de leur distribuer l’aide humanitaire.
Les cas les plus récents remontent au mois de novembre dernier.
Au cours du même mois, une équipe d’évaluation de STAREST s’était également vu refuser le passage par un groupe de jeunes.
« Aujourd’hui, de Mabalako jusqu’à Cantine, les populations souffrent parce qu’on a chassé tous les humanitaires, même les agents de développement, même nous de STAREST qui menons des projets de développement du Gouvernement.
Pour sa part, Deborah Nyonyi, Secrétaire administrative du groupement de Baswagha-Madiwe, affirme que cette situation préoccupe les autorités dans cette zone.

Kinshasa, 28 janvier 2025 (ACP).- Des femmes des organisations féminines, venues de quatre coins de la République démocratique du Congo, se sont réunies lundi pour doter cette plateforme d’une nouvelle équipe dirigeante, lors d’une assemblée générale qui se tient du 27 au 29 janvier à Kinshasa.
« Nous tenons cette Assemblée générale extraordinaire, pour doter notre plateforme d’une nouvelle équipe dirigeante et par devoir de redevabilité envers nos partenaires qui nous ont fait confiance et des femmes leaders et membres du CAFCO (…) », a déclaré Rose Mutombo Kiese, présidente de cette organisation.
Selon Mme Mutombo, cette Assemblée générale, la première depuis la mise sur pied du CAFCO, est l’occasion pour la première équipe qui a dirigé cette organisation depuis sa création, de passer à ce jour la main aux autres, alternance pacifique oblige.
«Notre vœu est de voir CAFCO prospérer, évoluer et construire des synergies de travail et de collaboration avec d’autres faitières au-delà des frontières nationales (…)», a-t-elle dit.
Ensemble, faisons du CAFCO non seulement une faitière nationale, influente, mais aussi un modèle de collaboration féminine pour tout le continent africain », a-t-elle conclu.

2024-12-022024-12-022024-12-022024-12-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/02-08/sida_vih_victimes_2400.pngLe monde entier a célébré ce dimanche 1er décembre la journée internationale de la lutte contre le VIH /sida sous le thème “suivons le chemin de droit”.
Un thème qui invite à réfléchir sur le lien fondamental entre les droits humains et la lutte contre le VIH sida.
D’après Onu-sida, sur 39,9 millions de personnes vivant avec le VIH dans le monde, près d’un quart soit 9,3 millions ne reçoivent pas le traitement vital, ce qui se traduit par un décès de cause du sida par minute.
Selon Véronique Ngongo Furah, ce refus de suivre le traitement serait aussi dû à la désinformation et la stigmatisation dont sont victimes les personnes atteintes du VIH.
“En RDC, selon le programme national de lutte contre le sida, sur une estimation de 520.000 personnes infectées, 400.000 personnes sont sous le traitement antirétroviral donc 120.000 personnes infectées ne suivent pas leur traitement.