Les épouses des militaires et policiers protestent contre l’agression rwandaise dans l’Est de la RDC

Voici pourquoi investir dans un sac de luxe est un choix judicieux.
Grâce à leur rareté et à leur prestige, ils sont très recherchés sur le marché de la revente.
Il s’inscrit dans une esthétique intemporelle, capable de rehausser n’importe quelle tenue, qu’elle soit formelle ou décontractée.
Un investissement dans soi-mêmeAu-delà de la valeur financière, un sac de luxe est un investissement dans votre image et votre confiance en vous.
Conclusion : bien plus qu’un simple accessoireInvestir dans un sac de luxe, c’est choisir une pièce intemporelle qui allie esthétique, qualité et potentiel de valorisation.

2024-12-242024-12-242024-12-242024-12-24Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/23-29/felix_tshisekedi_a_la_population_de_kananga_mardi_24_dec_2024.jpgArrivé ce mardi 24 décembre 2024 à Kananga, le président de la République, Félix Tshisekedi, a adressé des promesses fermes à la population locale, tout en réaffirmant son engagement à réaliser les projets annoncés.
“Si je ne fais rien dans les 5 prochaines années, il faudra me lapider le jour où je reviendrai ici”, a-t-il déclaré avec conviction.
Pour l’approvisionnement en eau potable, Félix Tshisekedi a annoncé la construction d’une usine à Miao, avec des travaux qui débuteront en mai 2025.
Sur le plan de l’éducation, le chef de l’État a confirmé que “des universités sont déjà en construction à Kananga, Mbuji-Mayi et Bunia”.
Enfin, concernant la question de la Constitution, il a assuré : “Si vous voulez qu’on la change, on va la changer.”Accompagné de la Première dame, Denise Nyakeru, le président de la République s’est offert un bain de foule, avant de s’adresser à la foule massée à la place de l’Indépendance.

La République Démocratique du Congo se trouve confrontée à une multitude de défis, chacun d’eux se présentant comme à la fois urgent et crucial pour le développement harmonieux du pays.
Tous ces défis peuvent, en réalité, être inscrits dans le cadre d’une lutte plus vaste contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, une problématique à laquelle la RDC s’est engagée depuis 2004, mais qui n’a connu que peu d’avancées significatives.
Il n’est pas superflu de rappeler que la recrudescence des violences armées dans l’est du pays serait aussi alimentée par ce fléau insidieux.
Celles-ci doivent constituer des remparts solides contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme au sein de la société congolaise.
Il va sans dire que la sortie de la République Démocratique du Congo de la liste grise du GAFI ne devrait pas être considérée comme le sommet à atteindre.