Institut national des arts : création d’une chorégraphie pour soutenir les forces armées congolaises

Kinshasa, 6 janvier 2025 (ACP).- Le Gouvernement de la République démocratique du Congo compte mobiliser 400 millions de dollars américains sur le marché financier local au premier trimestre 2025 à travers les bons et obligations du trésor indexés, selon un communiqué du ministère des Finances consulté lundi par l’ACP.
« Le ministère des Finances prévoit de mobiliser, sur le marché financier local, des Bons du Trésor et des Obligations du Trésor libellés en dollars américains, un montant total de 400 millions de dollars au premier trimestre de l’exercice 2025 », a-t-on lu.
Selon la même source, le gouvernement envisage également de mobiliser 150 milliards de francs congolais sur le même marché, en vue de financer le programme du gouvernement à cause de la faible mobilisation des recettes en début du premier trimestre.
Pour l’année en cours, il prévoit de mobiliser 926,4 milliards de francs congolais (CDF) des recettes exceptionnelles à travers les émissions de Bons du Trésor et d’Obligations du Trésor.
Les émissions de Bons du Trésor indexés et d’Obligations du Trésor indexées permettent au Gouvernement, qui en est l’émetteur, de compenser les déficits de la mobilisation des recettes publiques.

« La décision du Conseil constitutionnel conduira le Mozambique soit à la paix, soit au chaos », a-t-il menacé, appelant à un « nouveau soulèvement populaire d’une ampleur jamais vue ».
Des barricades entravent ses grands axes, les avenues demeurent désertes et les rideaux métalliques des boutiques restent baissés, a constaté une équipe de l’AFP.
Les accès au palais présidentiel et au Conseil constitutionnel étaient également bloqués par la police.
C’est la « contestation post-électorale la plus dangereuse » de l’histoire du pays pour le parti Frelimo, à la tête du Mozambique depuis son indépendance du Portugal en 1975, estime le chercheur mozambicain Borges Nhamirre de l’Institut d’études pour la sécurité de Pretoria.
Une allusion au recul électoral en Afrique du Sud de l’ANC, parti au pouvoir depuis 1994, contraint à une coalition, puis à la déroute historique au Botswana du BDP qui dirigeait le pays depuis 1966.

La RDC affrontera le Rwanda dans un nouveau procès le 12 février 2025 devant la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, juridiction relevant de l’Union africaine.
Ce procès s’inscrit dans une série d’initiatives judiciaires internationales visant à mettre en lumière les violations perpétrées par le Rwanda et son président, Paul Kagame, sur le sol congolais.
Samuel Mbemba, vice-ministre de la justice en charge du contentieux international qui l’a annoncé, a mentionné la portée inédite de ces démarches judiciaires.
Il y a trois procès en cours aujourd’hui », a-t-il déclaré.
En s’appuyant sur la juridiction de l’Union africaine, ce processus cherche à ouvrir une voie nouvelle pour la reconnaissance des droits des peuples affectés et pour s’avancer vers une autre instance, la cour pénale internationale.