Finances : la monnaie nationale congolaise se déprécie de 0,63% sur le marché officiel

Le député national Léon Mubikayi Mubalamate, élu de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) dans le territoire de Luebo (Kasaï) soutient l’idée de la révision constitutionnelle prônée par le chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Il l’a fait savoir dans une adresse à la presse, ce vendredi 27 décembre 2024.
Cet ancien président du groupe parlementaire UDPS à l’Assemblée nationale appelle la population congolaise à se ranger derrière la vision du président Tshisekedi.
« C’est ce que nous attendions depuis tout ce temps.
Nous l’attendions depuis le premier mandat, on croyait que le chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, allait nous le demander depuis.

Kikwit, 11 janvier 2025(ACP).- La prison centrale de Bulungu ,territoire et localité dans la province du Kwilu, au sud-ouest, de la République démocratique du Congo, est en état de délabrement très avancé , faisant ainsi craindre l’évasion imminente des détenus , a appris l’ACP de source associative.
« La prison de Bulungu est vétuste.
Pour lui: « les détenus venus de différents sous- commissariats, des extensions du parquet, les condamnés du Tribunal de paix et ceux de Grande instance, s’entassent comme dans un œuf et la promiscuité est indescriptible », a-t-il ajouté.
Il a profité de l’opportunité pour annoncer que la société civile BDE Bulungu a un lot important de briques cuites pour la réfection de ladite prison, mais il manque de moyens pour l’achat du ciment, le paiement des ingénieurs constructeurs, l’achat des tôles, des matériaux de la charpente, les clous et la main d’œuvre des ouvriers tant pour la maçonnerie que la charpente en vue de la modernisation de cette maison carcérale ».
« Si les fils et filles de Bulungu, de partout, peuvent, chacun, contribuer à la hauteur de ses moyens, Bulungu aura une prison moderne », a lancé Guylain Kabeya.

La situation sécuritaire alarmante dans l’est de la RDC était à l’ordre du jour des discussions.
Kabila et Lubaya accusent le régime de Kinshasa de favoriser les forces étrangères au détriment des Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc).
Les choix et décisions hasardeux, les tâtonnements et les essai-erreurs sont à la base de l’impasse actuelle.
Le pouvoir en place porte davantage son choix sur les forces étrangères, les milices et mercenaires au détriment de nos forces armées.
Les deux opposants ont donc exprimé leur solidarité avec les victimes de cette guerre, avant d’appeler à la mobilisation nationale.