Guerre à l’Est : un émissaire d’Emmanuel Macron chez Félix Tshisekedi

Escalade des tensions et impact humanitaireCette progression militaire exacerbe la crise humanitaire dans la région.
Les routes sont bloquées et l’aéroport de Goma est désormais inutilisable pour les évacuations humanitaires, le M23 ayant déclaré l’espace aérien fermé.
“Le M23 a doublé le territoire qu’il contrôle par rapport à 2012, consolidant son occupation au Nord-Kivu et progressant vers le Sud-Kivu”, a-t-elle déclaré.
L’opération “Springbok 3” a été activée, incluant une force de réaction rapide, un bataillon de déploiement rapide, une batterie d’artillerie et des sections de forces spéciales.
Appel à une action immédiateMme Keita a exhorté le M23 à cesser immédiatement toutes actions hostiles et à se retirer des zones occupées.

Cette formation politique, membre de l’Union sacrée, se dit prête à accompagner le président de la République dans la mise en œuvre de ce projet qu’elle qualifie de « noble ».
Selon lui, le débat autour du nombre de mandats du chef de l’État ne devrait pas préoccuper outre mesure les Congolais qui se revendiquent républicains et démocrates, qualifiant cette question de « question d’hygiène démocratique ».
Le MSL insiste également sur la nécessité de réformer la constitution en raison de la légitimité de certaines institutions, désormais « sujette à caution ».
« Pour le Mouvement social Lumbiste, la réforme de la constitution s’impose dans la mesure où la légitimité de certains animateurs des institutions est devenue, à l’usure du temps, sujette à caution.
La question du changement ou de la modification de la constitution, au centre de l’actualité en novembre et décembre de l’année dernière, pourrait trouver son issue cette année.

Le prix du baril de Brent, référence mondiale pour le pétrole, a chuté à 72,65 USD au 19 décembre 2024, enregistrant une baisse hebdomadaire de 1,53 %, selon la Note de conjoncture hebdomadaire publiée par la Banque centrale du Congo (BCC).
Le Brent, un pétrole brut léger extrait principalement de la mer du Nord, est utilisé comme étalon sur les marchés internationaux.
Malgré la présence de ressources pétrolières, la contribution des recettes issues du secteur pétrolier reste limitée en RDC.
En revanche, les recettes courantes hors secteur pétrolier ont connu une croissance soutenue, reflétant une dépendance accrue à d’autres sources fiscales pour soutenir l’économie.
Cette dynamique souligne les défis structurels que le secteur pétrolier congolais doit relever pour maximiser son potentiel économique.