Les services essentiels, tels que l’eau, l’électricité et internet, ne sont toujours pas rétablis, et des véhicules militaires abandonnés, ainsi que des armes et des explosifs, jonchent les rues, nécessitant un nettoyage urgent.
La situation humanitaire est alarmante avec des pillages, des agressions sexuelles et des tirs sporadiques.
Les structures de santé sont débordées par l’afflux de blessés graves, tandis que les coupures d’électricité et d’eau compliquent les soins.
Plus de la moitié des déplacés des sites de Kanyaruchinya et Bushagara ont fui, cherchant refuge à Goma, parfois dans des écoles.
L’aéroport de Goma est fermé depuis le 26 janvier, et les axes routiers sont coupés, entravant l’acheminement de l’aide humanitaire.
Author(s): actualite.cd
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