Selon le psychologue, le stress post-traumatique peut se manifester sous diverses formes chez les intervenants humanitaires, notamment l’épuisement émotionnel, l’anxiété, les troubles du sommeil et des symptômes de dissociation.
(ii) selon le psy, une supervision clinique régulière peut jouer un rôle clé dans la gestion du stress post-traumatique des travailleurs sociaux.
”Les formations dispensées à ces acteurs les aident à identifier les signes de stress chez eux-mêmes et leurs collègues, à éviter le burn-out et à maintenir une approche professionnelle face à la souffrance des autres.
Une fois formés à la gestion du stress, ils pourront mieux intervenir auprès des femmes et des enfants déplacés, en créant un environnement plus stable et sécurisé, tout en prenant soin d’eux-mêmes”.
La prévention du stress post-traumatique parmi les intervenants devient donc une stratégie non seulement pour leur bien-être, mais aussi pour l’efficacité de l’intervention humanitaire, a-t-il conclu.
Author(s): actualite.cd
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