RDC: les FARDC et les Wazalendo continuent de tenir quelques positions à Goma (Vital Kamerhe)

La Première ministre Judith Suminwa a accordé un moratoire sur les missions de contrôle des services étatiques auprès des entreprises, du 16 décembre 2024 au 30 janvier 2025, sur l’ensemble du territoire national.
Cette décision fait suite à une requête de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC) qui dénonçait les tracasseries administratives en fin d’année.
« J’ai décidé d’accorder un moratoire sur tous les contrôles fiscaux, des recettes non fiscales et de contrôle économique de routine, afin de permettre aux opérateurs économiques de préparer leurs états financiers dans la sérénité », écrit la Première ministre dans une lettre datée du 19 décembre.
Cependant, les missions programmées et diligentées par les régies financières nationales conformément à la loi restent maintenues.
La FEC, dans une correspondance datée du 4 décembre, avait sollicité cette suspension, estimant que les contrôles en cette période constituaient un frein à l’activité économique et à la préparation des bilans financiers.

À l’occasion de cet anniversaire, nous réaffirmons notre engagement à éradiquer la Tuberculose en RDC”, a-t-il déclaré.
A part des allocutions des responsables, l’assistance a eu droit aux témoignages des anciens malades de la Tuberculose.
La soirée s’est clôturée par la remise des trophées aux des meilleues sections du Club des Amis Damien qui se se sont distinguées dans la prise en charge des malades et la lutte acharnée contre la Tuberculose.
En gros, cette célébration des 25 ans du Club des Amis Damien a permis de rappeler qu’avec l’implication des acteurs de la santé, des communautés et des décideurs, l’éradication de la tuberculose en RDC est un objectif réalisable.
Créé en 1999, le CAD s’est distingué par son dévouement à la sensibilisation, la prévention et le traitement de la tuberculose en République Démocratique du Congo (RDC).

L’État a l’obligation de la respecter et de la protéger.
Nul ne peut être tenu en esclavage ni dans une condition analogue.
Nul ne peut être soumis à un traitement cruel, inhumain ou dégradant.
Nul ne peut être astreint à un travail forcé ou obligatoire », stipule l’article 16 de la Constitution de la RDC.
Dans le même angle d’idée, il est également urgent de multiplier des formations professionnelles de courte durée pour les jeunes.