Ils avaient déjà fui les violences dans le territoire de Rutshuru et se retrouvent, encore une fois, contraints de quitter ce qu’ils pensaient être un lieu sûr.
À Kanyaruchinya, nous pensions être en sécurité, mais les combats nous poursuivent.
« À Rutshuru, les combats nous ont forcés à fuir.
Nous vivons dans une peur constante », ajoute un autre déplacé.
Les femmes et les enfants, particulièrement vulnérables, sont en première ligne de ces déplacements forcés.
Author(s): actualite.cd
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