Guerre d’agression dans l’Est de la RDC : l’Union européenne condamne la prise de Minova et Sake par les terroristes

Les sénateurs ont examiné et adopté ce jeudi 12 décembre, le rapport de la commission spéciale chargée de l’élaboration de la synthèse nationale des rapports des vacances parlementaires pour la période allant du 13 août au 14 Septembre 2024.
Dans sa présentation, le rapporteur adjoint du bureau du Sénat, Baende Jean-Claude a insisté sur le fait que ce rapport contient des amendements, des résolutions identiques communes ainsi que des recommandations.
La commission a renseigné que le projet sera transmis au Gouvernement pour la mise en œuvre.
Il sied de signaler que le rapport examiné et adopté au Sénat concerne 24 provinces, car deux des 26 provinces de la RDC attendent encore les élections législatives nationales et provinciales devant conduire au vote de leurs sénateurs.
Il s’agit des provinces du Kwilu et du Nord Ubangi où les élections législatives nationales et provinciales seront organisées ce dimanche 15 Décembre 2024, condition requise avant l’organisation des élections sénatoriales.

Ce qui résulte généralement de divergences abusives entre peuple et différentes lectures de la situation à l’Est selon la région du même Pays.
Au regard de cette gestion peu efficiente, selon lui, de la communication de la guerre dans l’Est, il souhaite un changement de stratégie et même des acteurs si nécessaire.
“Pour gagner cette guerre médiatique, il faut changer la stratégie de la communication et les acteurs si nécessaire.
L’armée numérique se ressource des informations nécessaires au moment voulu.
Ça ne sert à rien de persécuter les journalistes et les patriotes qui relayent les informations du front, du coté FARDC et rebelles car ils ne font que leur travail.

Il est tantôt ami(il avait tendu la main à Kagame) de Kagame, tantôt son ennemi.
Tantôt, Il fait venir les troupes de la communauté de l’Afrique de l’Est, tantôt il les chasse.
Cette politique de tâtonnement est une des causes de l’occupation de nos terres à l’Est.
L’article 214 de la constitution ne permet pas un abandon facile de nos terres.
Or, nous savons que le peuple est opposé dans sa majorité à l’abandon de nos terres à qui que ce soit.