Cet incident a enflammé les esprits et conduit à une confrontation entre les forces de l’ordre et les militants du parti présidentiel.
Ces accusations, si elles sont confirmées, constituent une atteinte flagrante aux droits de l’homme et à l’éthique des forces de sécurité.
Malgré plusieurs tentatives de contact, Maître André Kapampa, maire de Kasumbalesa et les responsables des forces de l’ordre n’ont pas encore réagi à ces accusations.
Ce silence suscite des interrogations sur la gestion de cette crise et les mesures qui seront prises pour faire la lumière sur ces événements tragiques.
En attendant, les habitants de Kasumbalesa espèrent que la justice et la paix pourront être restaurées rapidement.
Auteur(s): 7sur7.cd
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