Nécessité de la « revitalisation de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba après une douzaine d’années » (Coordonnateur du Mécanisme national de suivi)

L’Inspection Générale des Finances salue cet exploit qu’elle qualifie d’historique, qui permettra à la République Démocratique du Congo de bénéficier de 2,850 milliards de USD du FMI.
« L’IGF félicite Son Excellence Monsieur le Président de la République et le Gouvernement de la République pour la conclusion du programme triennal soutenu par la Facilité Élargie des Crédits (FEC) ainsi que du programme climatique avec le FMI.
Elle salue cet exploit historique qui permettra à la RDC de bénéficier de 2,850 milliards de USD du FMI », peut-on lire sur le compte X de cette institution.
Ce résultat est, selon l’IGF, la conséquence d’une meilleure coordination des politiques budgétaires et monétaires depuis le mois de juin 2024, à travers le ministère des Finances, du Budget et la Banque Centrale du Congo.
Le programme soutenu par la FEC (Facilité Élargie des Crédits) vise à favoriser une croissance forte et inclusive, à accélérer la diversification économique, à stimuler la création d’emplois, à améliorer le niveau de vie, à renforcer la gouvernance et la transparence, et à réduire la pauvreté, grâce à des investissements accrus de qualité dans les infrastructures et les secteurs sociaux prioritaires.

Sur la plateforme X, Fayulu a affirmé que la fin du régime de Bachar al-Assad devait servir de leçon à Tshisekedi, évoquant la colère populaire comme facteur déterminant dans le renversement des dictateurs.
Le leader de l’opposition congolaise a ainsi lancé un avertissement à Félix Tshisekedi, en soulignant que le temps était venu pour lui de quitter le pouvoir, après avoir occupé la présidence durant deux mandats controversés.
Un appel à la mobilisation populaireÀ travers cette comparaison avec la Syrie, Fayulu cherche à galvaniser l’opinion publique congolaise contre le régime de Tshisekedi.
Il met en exergue la question des droits de l’homme, en insistant sur le fait que la fin de Bachar al-Assad, marquée par la fuite et la désertion, doit servir de modèle à une situation qui pourrait survenir en RDC.
Il encourage les citoyens à se mobiliser, à revendiquer leur souveraineté, et à ne pas se laisser intimider par ce qu’il appelle une « dictature ».

Figure emblématique des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), Ndala avait été élevé à titre posthume au grade de général.
Ce jour-là, Mamadou Ndala et ses hommes se rendaient à Eringeti dans le cadre de préparatifs pour des opérations contre les rebelles ougandais des ADF.
L’attaque avait causé la mort de trois personnes, dont deux gardes du colonel, et fait cinq blessés.
Il avait été condamné à mort et à payer une amende de près de trois millions de dollars en dommages et intérêts.
Onze ans plus tard, la mort du colonel Ndala reste un sujet de controverse et un rappel des défis persistants en matière de sécurité et de gouvernance militaire en RDC.