La FAO s’engage à accompagner la RDC pour réduire le taux d’insécurité alimentaire

« Nous aurons d’ici le 31 mars 2025, 1.062 tracteurs que nous pensons dispononiliser d’ici le 31 mars 2025 en raison de cinq tracteurs par territoire pour diminuer la pénibilité de la femme dans le système de production », a déclaré Grégoire Mutshail.
« Il a besoin d’être professionnalisé, de faciliter aux producteurs beaucoup d’appuis, des agronomes et les gens qui ont la vocation.
En facilitant nos producteurs, nous allons atteindre les objectifs que nous nous sommes assigné», a relevé le ministre d’Etat en charge de l’Agriculture.
Selon le ministre d’Etat, il est prévu une stratégie de développement intégral dans le secteur du développement rural.
Nous voulons que ces routes soient stabilisées pour permettre la connectivité entre chefs-lieux des territoires et les chefs-lieux des provinces », a souligné Muhindo Nzangi.

La victoire de Donald Trump pourrait ainsi entraîner des changements significatifs dans la vie quotidienne des Africains.
Si son premier mandat a été marqué par des choix controversés et des stratégies d’isolement, la question de savoir ce que son retour à la Maison-Blanche signifierait pour l’Afrique est cruciale.
Les décisions prises par les États-Unis, en particulier sous la direction de Trump, peuvent avoir des répercussions profondes sur les économies, les sociétés et les gouvernements africains.
Trump a exprimé à plusieurs reprises son souhait de réduire l’engagement militaire des États-Unis à l’étranger.
Le retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis pourrait marquer un tournant significatif dans les relations entre l’Afrique et les États-Unis.

Dans une lettre ouverte adressée au gouverneur de la province du Kasaï Oriental, la société civile de Miabi demande pour la relève de la société Anhui d’investissement minier (SACIM), dont les agents sont impayés depuis 10 mois.
Le document consulté ce lundi 13 janvier par ACTUALITE.CD, indique que cette société d’exploitation de diamant à Miabi est confrontée à de nombreuses difficultés depuis plusieurs mois.
La société civile de Miabi lie le calvaire des agents de la SACIM à la non libéralisation de la vente des diamants par cette société.
Car, dit le président de la société civile, Placide Lufuluabo, l’équipe restreinte n’est plus en mesure de prendre en charge l’achat de la quantité produite dans les délais et permettre son fonctionnement.
À travers cette démarche, la société civile de Miabi vise l’annulation de cet arrêté ministériel et ainsi permettre à la SACIM de faire face à ses défis de survie.