Haut-Katanga : la pénurie du carburant hausse de prix de la course à Lubumbashi

La société civile de la province du Sud-Kivu, avec les mouvements citoyens et quelques partis politiques, ont assiégé la frontière Ruzizi 1 dans la matinée de ce jeudi 9 janvier pour exiger la rupture des relations diplomatiques entre le Rwanda et la RDC mais aussi la fermeture des frontières entre ces deux pays.
Plusieurs dizaines d’acteurs de la société civile étaient déjà à la frontière Ruzizi 1 aux environs de 6 heures du matin pour empêcher la traversée de deux côtés.
Cette action de la société civile a comme fondement l’autoproclamation de la milice Twirwaheno comme branche du M23 au Sud-Kivu et l’attitude de Paul Kagame de bouder le dialogue pour la paix.”
Il faut que le Rwanda comprenne qu’il fait mal à la RDC parce que c’est le Rwanda qui gagne beaucoup plus de cette frontière avec nous les Congolais.
C’est nous qui faisons vivre le Rwanda à travers tout ce que nous faisons “, dit Néné Bintu.

Le ministre des Finances est arrivé ce mardi 24 décembre à Mbujimayi au Kasaï oriental.
Une marche à pied a été imposée à ce cadre du parti présidentiel, de l’aéroport de Mbuji-Mayi jusqu’au lieu du meeting.
Devant la population venue l’écouter, Doudou Mfwamba a centré son adresse sur l’accueil du Chef de l’État, qui est annoncé à Mbujimayi.
Ce digne fils du Kasaï oriental a appelé toute la population à réserver un accueil digne de son rang à Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Comme vous le savez déjà, le chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo va arriver bientôt ici à Mbuji-Mayi.

Bukavu, 14 janvier 2025 (ACP).- Le transfert de 12 (douze) chimpanzés du centre de réhabilitation des primates de Lwiro (CRPL) situé au Sud-Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo, à Kinshasa, a été jugé illégal par la société civile environnementale dans une déclaration faite mardi à Bukavu.
La société civile environnementale a accusé l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) d’autoriser ce transfert.
Par ailleurs, cette décision étant incompréhensible et suspecte, la société civile environnementale du Congo au Sud-Kivu demande des explications claires sur les raisons de ce transfert et sur les garanties qui seront apportées quant au bien-être de ces animaux.
Cette structure citoyenne craint que ces chimpanzés ne soient destinés à être vendus ou utilisés à des fins lucratives, alimentant ainsi le trafic illégal d’espèces sauvages.
La majorité d’animaux présents dans ce centre ont été récupérés auprès de braconniers ou des personnes qui les détiennent illégalement.