Le plus grand site d’information en république démocratique du congo

2024-12-052024-12-052024-12-052024-12-05Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/02-08/Joujou_Soki_24.jpg« Le silence est un signe de confiance dans l’abandon total à Dieu », a déclaré le chantre de l’Éternel, Joujou Soki, à l’occasion du lancement de son nouveau single « Silence ».
Selon Joujou Soki, prendre du recul face au tumulte du monde est essentiel pour entendre véritablement la voix de Dieu.
« Le Divin se révèle souvent dans des moments de calme, loin des agitations et distractions de la vie quotidienne », explique l’auteur-compositeur, soulignant que c’est dans le silence que l’on peut pleinement écouter le Seigneur et comprendre Sa volonté.
Son talent, associé à sa dévotion, le propulse rapidement à la tête des chants de son église à l’âge de 11 ans.
Après des études en management des unités commerciales à Paris, Joujou Soki entame une carrière professionnelle dans la grande distribution.

Lundi 13 janvier encore, la ville a vécu ce même drame suite à une forte pluie qui s’était abattue durant toute la nuit.
De centaines de plusieurs quartiers des communes de lingwala, masina, limete, bandalungwa, et ngaliema se retrouvent sous l’eau et des rescapés n’ont plus d’espoir.
Ils rejettent la faute sur la mauvaise construction du mur, affirmant que les maçons n’avaient pas bien fait leur travail.
La police est sur les lieux du drame pour constater les faits.
L’État congolais devrait veiller à la construction anarchique qui se multiplie à travers la capitale congolaise afin de minimiser ce genre de dégâts.

Kinshasa 18 janvier 2025 (ACP).- Deux juges de la Cour suprême iranienne ont été assassinés samedi dans leur bureau à Téhéran par un homme armé qui s’est ensuite suicidé, a-t-on appris des médias internationaux.
« Les chefs de la branche 39 et 53 de la Cour suprême, les juges Ali Razini et Mohammad Moghisseh, ont été tués dans l’enceinte de la Cour suprême, dans le sud de la capitale iranienne », ont rapporté les sources.
Selon les sources, le porte-parole du pouvoir judiciaire, Asghar Jahangir, a déclaré à la télévision que l’assaillant était «entré dans le bureau des deux juges armé d’un pistolet» et les avait tués.
En 2005, le juge du tribunal révolutionnaire de Téhéran, Massoud (Hassan) Moghadas, avait été assassiné en pleine rue à Téhéran.
Par ailleurs, les deux juges tués samedi sont Hodjatoleslam, un rang intermédiaire dans le clergé chiite, et ont présidé les audiences d’importants procès ces dernières années, ont souligné les sources.