Liprobakin : le BC Fukash prend le premier derby de la saison face au BC Terreur

La machine à voter, rebaptisée dispositif électronique de vote (DEV) qui visait à réduire les coûts et améliorer l’efficacité logistique et opérationnelle de l’opération de vote, n’a pas permis de renforcer la crédibilité des scrutins, indique la note d’analyse de l’organisation Ebuteli.
Dans sa deuxième note d’analyse intitulée « Vote électronique en RDC : comment éviter l’échec des prochaines élections ?
Mais aussi, la formation inadéquate des agents électoraux a gravement compromis la capacité de la CENI à gérer efficacement les dispositifs électroniques de vote », note Ebuteli.
Face à ces constats, Ebuteli propose notamment d’adapter la loi électorale pour encadrer strictement l’utilisation des DEV et préciser les rôles respectifs du vote électronique et du vote papier.
L’organisation recommande aussi de rendre obligatoire la publication exhaustive et traçable des résultats, bureau de vote par bureau de vote, dès l’annonce des résultats provisoires.

« Ce projet de loi n’étant pas adopté en des termes identiques par les deux chambres, une commission mixte paritaire sera mise en place.
Les recommandations formulées par les sénateurs ont été intégrées au texte avant son adoption finale.
Cette hausse contraste avec le chiffre initial de 49.846,8 milliards de FC proposé par le gouvernement.
Étant donné les divergences entre le Sénat et l’Assemblée nationale, une commission mixte paritaire sera mise en place pour harmoniser les vues.
Le projet de loi de finances 2025 doit impérativement être promulgué avant le 31 décembre 2024, afin d’entrer en vigueur le 1er janvier 2025.

Une reprise progressive des activités est constatée depuis une semaine dans les villages de Mabambi, Manji, Kasaki, Kalundu, et Mathoyo, situés au sud du territoire de Lubero, à 60 kilomètres de Lubero-Centre (Nord-Kivu).
Les écoles, églises, marchés et boutiques ont rouvert leurs portes, ont rapporté des sources locales, lundi 9 décembre.
Environ 80 % des civils sont déjà revenus, favorisant une timide relance des activités socio-économiques.
Peu à peu, ces villages renouent avec leur dynamisme d’antan, malgré les séquelles laissées par les violences.
Cette reprise fait suite à l’absence d’affrontements entre les FARDC aux miliciens Maï-Maï, depuis le 29 octobre dernier.