Al Nassr Ladies: 8 buts, plus 15 passes, la moisson de Kipoyi en 4 mois

Kinshasa, 28 décembre 2024 (ACP).-L’’installation des réverbères le long des routes de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, pour lutter contre les accidents nocturnes de circulation, a été préconisée par le président provincial d’une association, a appris samedi l’ACP.
« Plusieurs cas d’accidents qui surviennent la nuit ont pour principale cause le manque d’éclairage public sur les routes.
Les habitants de la commune de Ngaliema ont fait appel aux autorités urbaines pour l’installation des réverbères sur la route Nzolana à l’UPN.
« Cette route qui a permis de réduire les difficultés auxquelles nous les habitants de l’UPN étions confrontés pour nous déplacer.
Cette route avait été inaugurée le 14 novembre 2023 et a été réalisée par l’Agence congolaise des grands travaux (ACGT) et ses partenaires Crec 8 et sisc S.A.

2024-12-052024-12-052024-12-052024-12-05Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/02-08/donald_trump_au_bitcoin_2024.pngLe Bitcoin franchit une nouvelle étape historique en atteignant 100 000 dollars, un record qui marque un tournant majeur pour la cryptomonnaie.
Depuis l’annonce de la victoire de Trump le 5 novembre, le prix du Bitcoin a grimpé de près de 45%.
Ce n’est qu’en l’espace de quelques jours que le Bitcoin a atteint un nouveau sommet de 103 000 dollars, affichant une hausse de 6% en une seule journée.
Cette précaution s’explique par la volatilité des cryptomonnaies, qui restent un secteur encore largement non régulé à l’échelle internationale.
Toutefois, l’attrait du Bitcoin, soutenu par l’appui des grandes institutions financières et l’adoption croissante par des investisseurs de plus en plus nombreux, semble continuer de croître.

Actuellement, je collabore avec « Enable the Disable Action » (EDA), dans le cadre du projet Youth4Climate financé par le PNUD.
En observant la déforestation galopante dans la région, surtout autour des camps de déplacés, j’ai voulu proposer une alternative durable.
J’ai vu l’opportunité d’aider à la fois à la protection de l’environnement et à l’autonomisation des personnes, notamment les femmes et les jeunes, en les formant à la fabrication de ces briquets à partir de déchets organiques.
Aujourd’hui, ce sont principalement les jeunes et les femmes leaders du camp qui assurent la formation des nouveaux venus à la fabrication des briquets.
Quel message aimeriez-vous transmettre aux autres femmes ou jeunes filles intéressées par l’entrepreneuriat, surtout dans des contextes difficiles comme celui des camps de déplacés ?